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Pourquoi le PAM compare la crise alimentaire à un "tsunami silencieux"
LEMONDE.FR | 24.04.08
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jeudi 24 avril 2008
Voyage en Sardaigne (4)
Lundi 14
Départ direction la Gallura au nord-est.
Arrivée dans un agriturismo à côté d’Agientu après avoir traversé des paysages grandioses. Le lieu est à quelques km de la côte dans la montagne.
Nous sommes arrivées sous une pluie battante et grand vent.
Le logement est neuf, confortable et peu cher par rapport à ce qui est offert.
Demi-pension à 40 € par personne et par jour alors que le tarif habituel dans les autres agriturismo fréquentés était de 60 €.
Le logement n’est pas équipé de chauffage, il ne fait pas chaud.
Camille se réchauffe
La cuisine est moins typique que ce que nous avons connu et le repas est assez copieux pour nous.
Nous décidons de rester ici 3 nuitées jusqu’à la fin du séjour, l’endroit étant idéal pour rayonner dans cette région.
Mardi 15
Après le petit déjeuner nous prenons une petite route qui tortille au milieu du maquis bien vert la route se transforme ensuite par un chemin de terre où il nous faut faire attention à ne pas nous embourber et elle débouche ensuite sur une route qui va longer la mer déchainée.
C’est la tempête en Méditerranée, les vagues déferlent, de l’écume et des couleurs magnifiques vert émeraude en passant par du bleu turquoise le tout bordé de rocher de granit rose c’est superbe.
Nous nous dirigeons vers Santa Teresa di Gallura la pointe la plus proche de Bonifacio en Corse.
Puis nous nous dirigeons vers la côte Esmeralda développée par le prince Aga khan dans les années 60, endroit de villégiature pour la jet-set.
Mercredi 16
Le vent s’est un peu calmé et nous allons visiter Castelsardo et son château.
une ruelle de Castelsardo
Castelsardo sur son promontoire peut être comparé au mont St Michel…sans être entouré par la mer.
La tour génoise de Castelsardo
Jeudi 17
Départ pour aller prendre le bateau à Porto-Torrès distant de 70km environ.
L’embarcadère dans ce port est difficilement trouvable. Aucune indication, sauf pour Genova. De plus les indications données par les autorités portuaires sont vagues, nous les dérangeons. Nous mettrons une demi-heure à trouver l’embarcadère pour Marseille.
La traversée à bord du Girolata s’est faite sans problème. Nous faisons un tour pour voir la passerelle. Une marinette veille dans son bel uniforme galonné.
Diner au restaurant du bord, excellent.
Hélène émet l'idée saugrenue de m'installer au chenil ! Je comprendrais pourquoi plus tard.
Vers 2H 30 du matin çà bouge un peu (pour Hélène)
Hélène qui ne dors pas a peur d’avoir le mal de mer, elle regarde à travers le hublot et aperçois un autre ferry qui fait la route avec nous. Nous allons rapidement le dépasser.
Il fait orage et il y a du vent, c’est impressionnant en mer…Camille, dort.
La marinette dans son bel uniforme est à la passerelle, n'est ce pas Hélène ...pas besoin du chenil, Camille dort.
Pour éviter d’être malade Hélène décide de se recoucher. Tant pis pour la belle marinette.
Nous arrivons comme prévu à Marseille à 7 h. Les vacances sont terminées.
Départ direction la Gallura au nord-est.
Arrivée dans un agriturismo à côté d’Agientu après avoir traversé des paysages grandioses. Le lieu est à quelques km de la côte dans la montagne.
Nous sommes arrivées sous une pluie battante et grand vent.
Le logement est neuf, confortable et peu cher par rapport à ce qui est offert.
Demi-pension à 40 € par personne et par jour alors que le tarif habituel dans les autres agriturismo fréquentés était de 60 €.
Le logement n’est pas équipé de chauffage, il ne fait pas chaud.
Camille se réchauffe
La cuisine est moins typique que ce que nous avons connu et le repas est assez copieux pour nous.
Nous décidons de rester ici 3 nuitées jusqu’à la fin du séjour, l’endroit étant idéal pour rayonner dans cette région.
Mardi 15
Après le petit déjeuner nous prenons une petite route qui tortille au milieu du maquis bien vert la route se transforme ensuite par un chemin de terre où il nous faut faire attention à ne pas nous embourber et elle débouche ensuite sur une route qui va longer la mer déchainée.
C’est la tempête en Méditerranée, les vagues déferlent, de l’écume et des couleurs magnifiques vert émeraude en passant par du bleu turquoise le tout bordé de rocher de granit rose c’est superbe.
Nous nous dirigeons vers Santa Teresa di Gallura la pointe la plus proche de Bonifacio en Corse.
Puis nous nous dirigeons vers la côte Esmeralda développée par le prince Aga khan dans les années 60, endroit de villégiature pour la jet-set.
Mercredi 16
Le vent s’est un peu calmé et nous allons visiter Castelsardo et son château.
une ruelle de Castelsardo
Castelsardo sur son promontoire peut être comparé au mont St Michel…sans être entouré par la mer.
La tour génoise de Castelsardo
Jeudi 17
Départ pour aller prendre le bateau à Porto-Torrès distant de 70km environ.
L’embarcadère dans ce port est difficilement trouvable. Aucune indication, sauf pour Genova. De plus les indications données par les autorités portuaires sont vagues, nous les dérangeons. Nous mettrons une demi-heure à trouver l’embarcadère pour Marseille.
La traversée à bord du Girolata s’est faite sans problème. Nous faisons un tour pour voir la passerelle. Une marinette veille dans son bel uniforme galonné.
Diner au restaurant du bord, excellent.
Hélène émet l'idée saugrenue de m'installer au chenil ! Je comprendrais pourquoi plus tard.
Vers 2H 30 du matin çà bouge un peu (pour Hélène)
Hélène qui ne dors pas a peur d’avoir le mal de mer, elle regarde à travers le hublot et aperçois un autre ferry qui fait la route avec nous. Nous allons rapidement le dépasser.
Il fait orage et il y a du vent, c’est impressionnant en mer…Camille, dort.
La marinette dans son bel uniforme est à la passerelle, n'est ce pas Hélène ...pas besoin du chenil, Camille dort.
Pour éviter d’être malade Hélène décide de se recoucher. Tant pis pour la belle marinette.
Nous arrivons comme prévu à Marseille à 7 h. Les vacances sont terminées.
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