Film de l'au-delà, de la rédemption, de la souffrance, du mysticisme. Film étrange, paroxysmique du surnaturel et en même temps si près de la nature contingente.
Je n'ai pas compris les rires de la salle, rien de drôle dans le personnage d'Anatoli, un homme un peu fou, rongé par le remord du plus grand crime commis et réfugié pour le pardon dans le mysticisme chrétien orthodoxe.
Ce mysticisme m'a fait pensé aux pratiques animistes dans ces scènes d'exorcisme amenant la guérison par un phénomène de catharsis, dialogues avec l'au-delà.
Un film pour croyants, bien réalisé avec un souffle typiquement slave (n'est ce pas Christine)
Bref, un film à voir même par les incroyants de toute sorte, certainement plus intéressant pour les "russophones", cette langue se mariant avec les images de la Baltique enneigée.
Merci "Christinovna" de m'avoir indiqué ce beau film
jeudi 3 avril 2008
Les sectes
sur 20minutes.fr
«Les sectes évoluent mais elles sont toujours là». C’est, en quelques mots, le bilan du rapport 2007 de la Miviludes, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.
Le rapport fait le point sur les techniques de lobbying des sectes auprès des organismes internationaux, à partir de l'exemple de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), et sur le phénomène du satanisme qui concernerait de près ou de loin environ 25.000 personnes en France, dont 80% de moins de 21 ans. Il pointe aussi le néo-chamanisme et l'usage d'une substance, le datura, plante courante aux fleurs très parfumées et réputée toxique, qui tend à remplacer l'iboga, inscrit au tableau des stupéfiants.
Jean-Michel Roulet, président de la Miviludes, souligne en particulier qu'à partir de 2000, les sectes se sont «engouffrées» dans le domaine de l'accomplissement de soi, les unes dans l'humanitaire, les autres dans les techniques de «recherche de son moi profond».
La Miviludes, qui dépend directement du Premier ministre, s’est trouvé au coeur d'une polémique le mois dernier, après les propos de la directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy. Emmanuelle Mignon avait minimisé l’importance de la scientologie et estimé qu'outre son rapport annuel, «la Miviludes ne faisait rien».
lire aussi (cliquer sur le titre pour ouvrir le lien)
«Les sectes évoluent mais elles sont toujours là». C’est, en quelques mots, le bilan du rapport 2007 de la Miviludes, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.
Le rapport fait le point sur les techniques de lobbying des sectes auprès des organismes internationaux, à partir de l'exemple de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe), et sur le phénomène du satanisme qui concernerait de près ou de loin environ 25.000 personnes en France, dont 80% de moins de 21 ans. Il pointe aussi le néo-chamanisme et l'usage d'une substance, le datura, plante courante aux fleurs très parfumées et réputée toxique, qui tend à remplacer l'iboga, inscrit au tableau des stupéfiants.
Jean-Michel Roulet, président de la Miviludes, souligne en particulier qu'à partir de 2000, les sectes se sont «engouffrées» dans le domaine de l'accomplissement de soi, les unes dans l'humanitaire, les autres dans les techniques de «recherche de son moi profond».
La Miviludes, qui dépend directement du Premier ministre, s’est trouvé au coeur d'une polémique le mois dernier, après les propos de la directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy. Emmanuelle Mignon avait minimisé l’importance de la scientologie et estimé qu'outre son rapport annuel, «la Miviludes ne faisait rien».
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Voyage
Samedi nous partons en voiture avec Hélène pour prendre à Marseille le ferry-boat en direction de la Sardaigne.
Nous allons visiter la Sardaigne "à l'aventure" n'ayant fait aucune réservation d'hôtel, la réservation d'hôtel étant une solution trop contraignante à mon goût immodéré de la liberté. On se pose quand on veut, où on veut...
En effet, je n'aime pas les voyages organisés trop organisés, j'aime l'imprévu et les découvertes non programmées bonnes et mauvaises.
Nous ne partons pas sans rien, nous emmenons des guides touristiques et une carte...et dans les villes il existe des offices du tourisme.
Nous n'allons pas débarquer sur une ile déserte, mais attention aux bandits sardes ! Pour moi, ce rêve de Robinson est dans le passé quand je faisais de la navigation à voiles.
Donc, nous débarquons au nord à Porto Torrès dimanche vers midi et direction Alghero distante de seulement 36km. Nous prendrons le chemin des écoliers en passant par le "capa caccia" et si nous rencontrons par hasard une belle sirène échouée sur une plage "Algherote"...
J'espère en 12 jours que nous aurons le temps de faire le tour de l'ile (200km environ du nord au sud).
Si j'arrive à me connecter sur internet au cours de notre périple je vous ferai un petit coucou sur mon blog, avec les photos prises par Hélène.
Et ce soir nous allons voir le film russe "l'ile", rien à voir avec la Sardaigne... j'en parlerai demain.
Nous allons visiter la Sardaigne "à l'aventure" n'ayant fait aucune réservation d'hôtel, la réservation d'hôtel étant une solution trop contraignante à mon goût immodéré de la liberté. On se pose quand on veut, où on veut...
En effet, je n'aime pas les voyages organisés trop organisés, j'aime l'imprévu et les découvertes non programmées bonnes et mauvaises.
Nous ne partons pas sans rien, nous emmenons des guides touristiques et une carte...et dans les villes il existe des offices du tourisme.
Nous n'allons pas débarquer sur une ile déserte, mais attention aux bandits sardes ! Pour moi, ce rêve de Robinson est dans le passé quand je faisais de la navigation à voiles.
Donc, nous débarquons au nord à Porto Torrès dimanche vers midi et direction Alghero distante de seulement 36km. Nous prendrons le chemin des écoliers en passant par le "capa caccia" et si nous rencontrons par hasard une belle sirène échouée sur une plage "Algherote"...
J'espère en 12 jours que nous aurons le temps de faire le tour de l'ile (200km environ du nord au sud).
Si j'arrive à me connecter sur internet au cours de notre périple je vous ferai un petit coucou sur mon blog, avec les photos prises par Hélène.
Et ce soir nous allons voir le film russe "l'ile", rien à voir avec la Sardaigne... j'en parlerai demain.
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