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Nous sommes tous des "kapo" en puissance.
Cette réflexion vient d'un extrait de film vu il y a quelques années.
Imaginez-vous visiter une université prestigieuse avec un employé dédié aux relations extérieures.
Vous entrez dans une grande salle en contrebas du département de psychologie expérimentale. Votre accompagnateur vous explique l'expérience en cours.
Un professeur en blouse blanche donne des ordres à un manipulateur devant un rhéostat qui envoie des décharges électrique à un "patient" allongé sur une table d'opération
Sous les ordres du professeur le manipulateur envoie des décharges de plus en plus fortes, à chaque fois le professeur note les réactions, trace une courbe ...on arrive à plus de 200 volts et le manipulateur continue jusqu'à 250 volts où il commence à montrer quelques émois au vu de la réaction du "patient". L'ordre est alors donné d'envoyer 300 volts et après quelque hésitation le manipulateur exécute l'ordre.
L'expérience prend fin et l'accompagnateur explique l'expérience.
Le manipulateur est une personne candide choisie dans la rue, on l'a recruté pour participer moyennant une petite rétribution à une expérience de psychologie sous les ordre d'un professeur d'université. Le "patient" est un comédien, un étudiant de cette université. Il simule le mal des décharges électriques fictives.
Le résultat montre que sous l'autorité le manipulateur a obéi aux ordres jusqu'à envoyer des décharges mortelles.
Rares sont les personnes qui osent se rebeller.
C'est pour cette raison que les résistants étaient moins nombreux que les collaborateurs, que de nos jours dans les entreprises la hiérarchie fait passer le message justifiant le chômage partiel et les licenciements par un discours venant des actionnaires qui, sans tenir compte de la casse sociale, font les ajustements de l'outil de production au marché qui se restreint en ce temps de crise.
Les dividendes sont toujours versés, le taux de rentabilité du capital ne doit pas baisser. La seule variable d'ajustement est l'outil de production donc les travailleurs.
Se rendent-ils compte du mal social que cette gouvernance provoque ?
La richesse mondiale est aux mains d'une minorité qui ne voudra jamais partager.
Je vous laisse conclure.
Je viens de lire ceci, au sujet du patrimoine des français :
03/03/2009 à 17:40
heureux d apprendre que je fais partie des riches si avec 350000 euros nous sommes catalogués comme riches et bien je le suis et fier de l étre méme si j ai perdu autant en bourse et que recevoir quelques dividendes est éhonté je suis heureux d avoir tout perdu en bourse et qu il me reste un plus de 350000 euros de coté comme cela je ne paierai pas d i.s.f et les autres qui me critiquent pour les dividendes et bien sans nos placements en bourse ils seraient au chomage ces milliers de salariés du c.a.c et autres sociétées cotées en bourse et puis il vaut mieux attendre pour se débarasser de ses actions comme cela il n y aura plus dactionnaires donc plus de sociétées donc plus de travail donc la misére si c est cela qu ils veulent ces gens qui nous critiquent nous les actionnaires les faisons vivre et cela qu ils s en rendent compte et qu ils ne l oublient pas d ailleurs méme eux devraient soutenir les sociétées dont ils sont salariés en achetant des parts au lieu de placer leur argent ailleurs
Bonne idée que les actionnaires soient les salariés avec une participation de l'Etat minoritaire. Exit les fonds de pension américains et autres sociétés d'investissement camouflés dans les paradis fiscaux.
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mardi 3 mars 2009
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