mercredi 12 décembre 2007
Sexualités autres
http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/
mardi 11 décembre 2007
Ma maison à la campagne
lundi 10 décembre 2007
dimanche 9 décembre 2007
samedi 8 décembre 2007
vendredi 7 décembre 2007
Concert à la halle aux grains
Magnifique.
Le programme était
Borodine : dans les steppes de l'Asie centrale
Dvorak : concerto pour violoncelle en si mineur, op.104
Chostakovitch : symphonie n°5 en ré mineur, op.47
Ma culture musicale s'arrêtait à Malher fin 19ème/début 20ème et Ravel un peu plus tard, j'avais un peu peur de l'inconnu Chostakovitch.
J'ai été emballée, j'avais la larme à l'œil pendant le largo...ma pauvre mère aurait aimé, elle qui était passionnée de musique classique.
Le vendredi 14, la halle aux grains donne le requiem de Verdi.
ça me tenterai bien mais j'ai peur de pleurer tout le temps.
Il n'y a peut-être plus de place, je me trouve une excuse mais pas valable puisque j'ai eu une place au parterre quelques heure avant la représentation d'hier soir, il faudrait me pousser...
Et puis parmi les concerts qui m'intéresseraient
le 1er février il y a Weber et Beethoven,
le 15 février Brahms et Stravinski,
le 3 avril Messiaen, Ravel et Chostakovitch,
le 15 mai Beethoven avec la pastorale
et le 15 juin Schumann, Prokofiev et Scriabine avec Hélène Grimaud ma préférée.
J'irais bien à quelques de ces concerts, c'est si facile pour moi.
(cliquez sur le titre pour en savoir plus sur la halle aux grains et l'orchestre national du capitole de Toulouse)
jeudi 6 décembre 2007
Sciences
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mercredi 5 décembre 2007
Fra angelico
(cliquez sur le titre dans une nouvelle fenêtre par un clic droit)
L'annonciation
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http://www.artbible.info/art/large/255.html
mardi 4 décembre 2007
Le mal-être ou mal-vivre (suite)
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http://deboires.blogs.liberation.fr/denoe/2007/12/grise-ou-qui-a.html
samedi 1 décembre 2007
Maurane
Dans le menu vous avez d'autres chansons comme "sur un prélude de Bach" que j'aime beaucoup.
mercredi 28 novembre 2007
La vie dans une cité, le bruit et l’odeur !
Témoignage d'une étudiante habitant une cité à Clichy-sous-bois
Je suis fatiguée, exténuée, lessivée ! La rentrée a été dure pour ma petite personne. A la fac de Cergy-Pontoise pour la quatrième année consécutive, je me lasse de mes 200 minutes de transport quotidiennes. Et en ces temps de grève, c’est plutôt 360 minutes.
Mais j’aime bien ma petite fac de la banlieue ouest, la belle banlieue. C’est mon petit paradis culturel. La fac, la bibliothèque, les cinémas, la patinoire, la piscine, le parc de la préfecture, le conservatoire de musique et une vraie diversité de population. Alors, vous comprendrez aisément la larme qui me vient au coin de l’œil quand je rentre à Clichy-sous-Bois où mes oreilles et mon nez sont constamment agressés.
Arrivée dans le hall de mon bâtiment délabré, c’est la bande de «djeuns» que je dois traverser pour accéder à mon ascenseur. Ça gueule fort au lieu de parler, ça rit aux éclats, ça se dispute pour des broutilles. Je plains les habitants du rez-de-chaussée dont les fréquences de déménagement se font beaucoup plus élevées que dans les étages. Quel bruit !
En attendant mon ascenseur, là c’est l’odeur qui m’interpelle, l’odeur des détritus qui jonchent les escaliers menant vers les caves où les gens sont supposés déposer leurs ordures. C'est un sac poubelle éventré d’où dégoulinent les ordures ménagères vraisemblablement d’un des habitants de cet immeuble. Vraiment pas de respect de la vie en communauté chez certains. Je plains ceux du rez-de-chaussée.
L’ascenseur arrive enfin et c’est armée de ma grosse écharpe H&M que je me couvre le nez pour ne pas sentir l’odeur de pissouille ancrée dans les murs et sur le sol. Non non ! Ce n’est pas un chien qui s’est laissé aller.
Arrivée à mon étage je cours hors de ces toilettes ambulantes. Il fait noir. J’allume. Devant ma porte, une jeune fille et un jeune garçon adossé au mur, les jambes écartées. La jeune, apeurée, baisse les yeux à ma vue. Perplexe, je leur demande d’un ton exaspéré ce qu’ils foutent là. «Rien, rien», me rétorque le jeune garçon. La scène me paraît curieuse donc j’insiste. «Mais rien, c’est bon !»
Les paroles d’un autre garçon dans le hall d’entrée me reviennent à l’esprit. «C’est 10 euros !»
Je ne préfère pas pousser la réflexion plus loin. Fermer les yeux, c’est tellement plus facile. Elle a à peine 16 ans, je dirais. Merde !
Je me précipite chez moi, mon chez moi avec mon odeur et le bruit de gens qui me sont chers.
Dans mon lit, j’attends que Morphée vienne me bercer. Mais, qu’est ce que ça sent ? Le shit ! Ça fume dans ma cage d’escalier. Ça pue dans ma chambre qui est proche de la porte d’entrée. Ce soir, j’ai pas envie de me disputer et mon père ne veut surtout pas qu’on se fasse remarquer dans cette cité.
Mais y’en a marre quand même !
• Nadera Massoma •
lundi 26 novembre 2007
Un dimanche à la campagne
Il faisait beau, nous avions les Pyrénées au loin, et la ballade pas trop longue s'est terminée par un casse-croute en plein soleil sur la terrasse de ma maison.
L'escalier menant au village

La croix du pastellier dans le village (classée)
Une des nombreuses croix au détour du chemin
Le groupe (sans Hélène la photographe)


vendredi 23 novembre 2007
Le mal-être ou mal-vivre (suite)
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