mardi 20 novembre 2007

Kmers rouges

allez voir la 3ème photo...


Le droit de l'enfant

Nous vivons une sale époque et je ne suis pas fière de notre gouvernement.
A l'heure ou les phalangistes espagnol se recueillent sur la tombe du caudillo (Franco est mort le 20 nov. 1975) nous expulsons manu militari de pauvres gens sans défense qui luttent pour leur survie.
Les droites ne sont pas mortes et ces temps de crise me font redouter le pire.
(cliquez sur le titre pour aller lire un blog sur les enfants des sans-papiers)

Libération

1 - Jour de grève aussi dans la distribution de la presse (NMPP)
Voici le libé de ce jour en format pdf (cliquez sur le titre)

2 - Et devinez le salaire de Kaka un footballeur brésilien de l'AC Milan ?

9 millions d'€ net annuel (il revient à 18 millions d'€ au club)
C'est jusqu'à maintenant le plus haut salaire d'un joueur.
A cela, rajouter les contrat de publicité que ces vedettes engrangent...des fortunes se font avec le sport.
Sarko est loin du compte !



jeudi 15 novembre 2007

la crise immobilière, les surprimes aux USA

Allez voir cette video pour comprendre ce qui se passe actuellement aux US...
(cliquez sur le titre)

Mardi 20 nov.
conséquences de cette crise sur le système bancaire mondial






dimanche 11 novembre 2007

Le cours d'acrylique à lulu mirettes


les verres et la statue en terre cuite (sur carton)


Totem


Le vide sous un drap... (crayon, encres et collage)

Marie à la galerie lulu mirettes





samedi 10 novembre 2007

Dati

Elle a un culot monstre !
un peu comme Sarko...mais dureront ils ?
Je n'aime pas ces gens qui semblent ne jamais douter et qui feront tout pour arriver au pouvoir.


vendredi 9 novembre 2007

Lettre à sa mère - Essenine

Chanté par Shapovalof E


Le racisme d'après l'ONU


jeudi 8 novembre 2007

café poésie

Un poème d'Essenine pour le café poésie de Carcassonne de ce soir

Lettre à sa mère

Tu vis encore, ma vieille mère ?
Moi aussi. Salut, salut à toi !
Pourvu que coule sur ton isba
Cette lueur du soir que nul n'a pu décrire !

On m'écrit que, cachant ton angoisse,
Tu t'es grossi le cœur très fort à mon sujet,
Que tu t'en vas sur la route bien des fois
Dans ton vieux caraco démodé

Et que souvent dans les premières ténèbres bleues
Tu vois une seule chose, toujours la même:
C'est comme si quelqu'un me poignardait au cœur
Au fond d'un cabaret dans une querelle.

Ce n'est rien, petite mère. Calme-toi.
Ce n'est rien qu'un pénible délire.
Je ne suis pas encore un pochard assez dur
Pour me laisser mourir sans te revoir.

Je suis resté, comme autrefois, pas méchant
Et ne rêve jamais qu'une seule chose:
Au plus vite quitter cette révolte, ce tourment,
Pour retourner dans notre maison basse.

Je reviendrai le jour où docile au printemps
Notre jardin candide aura tendu ses branches.
Seulement ne me réveille plus à l'aube blanche,
Ne me réveille plus comme il y a huit ans.

N'éveille pas ce qu'un rêve m'a pris !
Ne touche pas ce qui n'a pas réussi !
Elles sont trop précoces la perte et la fatigue
Qu'il m'est échu d'éprouver en ma vie.

Et ne m'apprends pas à prier. Pas la peine !
Il n'y a plus pour moi de retour au passé;
Toi seule es pour moi aide et fête,
Toi seule es la lueur dont nul n'a su parler.

Il te faut donc oublier ton angoisse;
Ne grossis plus ton cœur si fort à mon sujet
Et ne va plus sur la route tant de fois
Dans ton vieux caraco démodé.


et encore

J’aime immensément ma Russie.
Bien qu’en elle la rouille de la tristesse se penche en saule
Elles me sont douceur, la gueule sale des cochons
Et dans la paix des nuits la voix sonore des crapauds.
Je suis tendrement malade de souvenirs d’enfance.
La torpeur, la moiteur des soirs d’avril hantent mes songes.

On dirait que notre érable pour se chauffer
S’accroupit devant le brasier de l’aube.
O que de fois aux branches grimpé j’ai
Pour dénicher ou la pie ou le geai !
Est-il toujours le même, le chef tout en verdure ?
Et son écorce comme jadis est-elle dure ?

Et toi, mon ami,
Mon fidèle chien tacheté ?
La vieillesse t’a fait glapissant, aveugle,
Et tu traines par la cour, tirant ta queue pendante
Et le flair oublieux des portes et de l’étable.
Oh ! qu’ils me sont chers tous nos jeux de gamins :
À ma mère je volais un quignon de pain
Et nous y mordions tous les deux tour à tour
Sans jamais nous dégoûter l’un de l’autre !

Je n’ai pas changé.
Comme cœur je n’ai pas changé.
En bleuets dans les blés mes yeux fleurissent dans mon visage
Étalant, paille dorée, la natte de mes poèmes...

Serge Essenine (Extrait de La Confession d’un voyou)


mercredi 7 novembre 2007

L'énergie dans le monde

Cet article du Monde est intéressant parce qu'il explique la cause principale de la déstabilisation mondiale qui nous attend si rien n'est fait.
Je ne vois pas d'issue au cataclysme futur s'il n'est pas trouvé rapidement dans les dix ans qui viennent un équilibre mondial possible.
Risque de guerres pour l'énergie et pour mettre tout le monde d'accord réchauffement de la planète, peut-être suis-je trop pessimiste.
Mais comment faire renoncer les chinois et les indiens à la modernité ? ils sont partis dans une course effrénée dans le modèle de développement occidental et conséquence, le réchauffement de la planète...vastes sujets !


lundi 5 novembre 2007

Statistique ethnique

Le ministère de l'identité nationale prend une mesure pour distinguer les individus en fonction de leur couleur de peau, en fonction de leur religion et en fonction de leur origine : la statistique ethnique...

Cette disposition de la loi hortefeux a fait l'objet d'un recours devant le conseil constitutionnel.

Une mobilisation massive est nécessaire pour empêcher une telle pratique.

Signez la pétition sur www.fichepasmonpote.com : http://www.fichepasmonpote.com

dimanche 4 novembre 2007

Cinema : mon meilleur ennemi

L'image “http://www.monmeilleurennemi.com/images/index_02NEW.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.


Allez lire la fiche du film en cliquant sur le titre.
Je pense un bon complément au livre de Jonathan Littell "les bienveillantes".
Les fascismes ne sont pas morts ...!!!

mercredi 31 octobre 2007

Comment allez-vous ?

« Ça va bien, merci »

C’est la réponse entendue lorsqu’on vous demande comment allez-vous ou comment vas-tu ?

Surtout ne pas répondre, « je vais très bien » ça paraitrait suspect, qu’arrive t’il de si extraordinaire à Cami? Elle aurait gagné à la loterie? Mais je la sais pas joueuse.

Ou aurait-elle fait une rencontre amoureuse? C’est suspect, je vais essayer de savoir...

Si vous répondez « je ne vais pas bien » patatras ! vous mettez votre interlocuteur dans l’embarras, vous mettez les pieds dans le plat, personne n’attend cette réponse trop franche.

Il faut être neutre, ne pas ouvrir de suite son intérieur, jouer la comédie…alors la bonne réponse est « ça va et toi?» ou « je vais bien merci, et vous? ... Parce que quand on s’intéresse à vous il faut aussi s’intéresser aux autres et la conversation peut commencer…c’est comme les anglais « how do you do » et en réponse « how do you do » et on parle d’autre chose. C’est comme quand on croise une connaissance « salut », « salut »

Alors je vais pour une fois déroger à la règle.

Comment allez-vous ?

Pas trop bien

Depuis un an, je devrais dire plutôt 2 ou 3, je suis seule…non pas seule mais esseulée au milieu de connaissances et de quelques amis. Ça ne me suffit pas.

J’ai besoin d’amour, je veux parler de la relation amoureuse, c’est mon carburant de vie et je suis en panne sèche. C’est la première fois dans ma vie que je vis cette situation. Vous me direz, oui mais c’est la situation de millions de personnes dites « isolées » en France. Je le sais et ça ne me console pas. ça ne me console pas qu'on me dise que je ne suis pas la seule dans cette situation ou qu'on me dise qu'elle existe et la rencontrerai un jour, quelque part...Mais quand et où ?

Je n’ai pas d’addictions pour supporter et compenser. Pas d’alcool, de cigarette, shit ou autres drogues, ni de psychiatre et antidépresseurs. Non rien de tout cela. Ma seule addiction est l’amour et je suis en manque, à en crever. Le pire c’est que je ne vois pas la fin et s’il n’y a pas de fin j'y remedierai bien un jour…peut-être devrais-je voir un psy ?

Il est possible que ma quête de l’amour soit irréaliste étant trop marginale. Vous pensez, une "lesb" à la retraite donc "rangée des voitures" et de surcroit…non je ne vous dirai pas, une discrimination suffit mais j’en vis deux.

Comment allez-vous ?

Je vais bien, merci.

lundi 29 octobre 2007

Mes croûtes


les lutins, acrylique 30X30


personnages, acrylique 60X60