mercredi 21 novembre 2007
Soirée du mardi
Moi qui croyais ne faire que de l'acrylique je suis servie, je suis ravie de découvrir, je m'émerveille des différentes techniques.
Le sujet ce soir est 'l'amour, la sensualité et la confrontation"
On "crayonne" avec les feutres et on étale au doigt, le résultat est bluffant...on croirait de la gouache. Je vous montrerai quand ce sera fini...même si ce n'est pas montrable.
En rentrant du cours à 21h30 je suis passée devant ma caviste, en face de mon immeuble.
Elle tenait une réunion et j'ai vu des verres et des bouteilles. Je suppose qu'elle donne des cours d'œnologie, il faudra que je me renseigne.
Choisir entre l'expression et le vin ce n'est pas possible ils se marient si bien. Alors le mieux est de peindre avec une bonne bouteille, ce que je n'ai pas encore fait (sourire)
mardi 20 novembre 2007
Le droit de l'enfant
A l'heure ou les phalangistes espagnol se recueillent sur la tombe du caudillo (Franco est mort le 20 nov. 1975) nous expulsons manu militari de pauvres gens sans défense qui luttent pour leur survie.
Les droites ne sont pas mortes et ces temps de crise me font redouter le pire.
(cliquez sur le titre pour aller lire un blog sur les enfants des sans-papiers)
Libération
Voici le libé de ce jour en format pdf (cliquez sur le titre)
2 - Et devinez le salaire de Kaka un footballeur brésilien de l'AC Milan ?
9 millions d'€ net annuel (il revient à 18 millions d'€ au club)
C'est jusqu'à maintenant le plus haut salaire d'un joueur.
A cela, rajouter les contrat de publicité que ces vedettes engrangent...des fortunes se font avec le sport.
Sarko est loin du compte !
jeudi 15 novembre 2007
la crise immobilière, les surprimes aux USA
(cliquez sur le titre)
Mardi 20 nov.
conséquences de cette crise sur le système bancaire mondial
dimanche 11 novembre 2007
Le cours d'acrylique à lulu mirettes
samedi 10 novembre 2007
Dati
un peu comme Sarko...mais dureront ils ?
Je n'aime pas ces gens qui semblent ne jamais douter et qui feront tout pour arriver au pouvoir.
vendredi 9 novembre 2007
jeudi 8 novembre 2007
café poésie
Lettre à sa mère
Tu vis encore, ma vieille mère ?
Moi aussi. Salut, salut à toi !
Pourvu que coule sur ton isba
Cette lueur du soir que nul n'a pu décrire !
On m'écrit que, cachant ton angoisse,
Tu t'es grossi le cœur très fort à mon sujet,
Que tu t'en vas sur la route bien des fois
Dans ton vieux caraco démodé
Et que souvent dans les premières ténèbres bleues
Tu vois une seule chose, toujours la même:
C'est comme si quelqu'un me poignardait au cœur
Au fond d'un cabaret dans une querelle.
Ce n'est rien, petite mère. Calme-toi.
Ce n'est rien qu'un pénible délire.
Je ne suis pas encore un pochard assez dur
Pour me laisser mourir sans te revoir.
Je suis resté, comme autrefois, pas méchant
Et ne rêve jamais qu'une seule chose:
Au plus vite quitter cette révolte, ce tourment,
Pour retourner dans notre maison basse.
Je reviendrai le jour où docile au printemps
Notre jardin candide aura tendu ses branches.
Seulement ne me réveille plus à l'aube blanche,
Ne me réveille plus comme il y a huit ans.
N'éveille pas ce qu'un rêve m'a pris !
Ne touche pas ce qui n'a pas réussi !
Elles sont trop précoces la perte et la fatigue
Qu'il m'est échu d'éprouver en ma vie.
Et ne m'apprends pas à prier. Pas la peine !
Il n'y a plus pour moi de retour au passé;
Toi seule es pour moi aide et fête,
Toi seule es la lueur dont nul n'a su parler.
Il te faut donc oublier ton angoisse;
Ne grossis plus ton cœur si fort à mon sujet
Et ne va plus sur la route tant de fois
Dans ton vieux caraco démodé.
et encore
J’aime immensément ma Russie.
Bien qu’en elle la rouille de la tristesse se penche en saule
Elles me sont douceur, la gueule sale des cochons
Et dans la paix des nuits la voix sonore des crapauds.
Je suis tendrement malade de souvenirs d’enfance.
La torpeur, la moiteur des soirs d’avril hantent mes songes.
On dirait que notre érable pour se chauffer
S’accroupit devant le brasier de l’aube.
O que de fois aux branches grimpé j’ai
Pour dénicher ou la pie ou le geai !
Est-il toujours le même, le chef tout en verdure ?
Et son écorce comme jadis est-elle dure ?
Et toi, mon ami,
Mon fidèle chien tacheté ?
La vieillesse t’a fait glapissant, aveugle,
Et tu traines par la cour, tirant ta queue pendante
Et le flair oublieux des portes et de l’étable.
Oh ! qu’ils me sont chers tous nos jeux de gamins :
À ma mère je volais un quignon de pain
Et nous y mordions tous les deux tour à tour
Sans jamais nous dégoûter l’un de l’autre !
Je n’ai pas changé.
Comme cœur je n’ai pas changé.
En bleuets dans les blés mes yeux fleurissent dans mon visage
Étalant, paille dorée, la natte de mes poèmes...
Serge Essenine (Extrait de La Confession d’un voyou)
mercredi 7 novembre 2007
L'énergie dans le monde
Je ne vois pas d'issue au cataclysme futur s'il n'est pas trouvé rapidement dans les dix ans qui viennent un équilibre mondial possible.
Risque de guerres pour l'énergie et pour mettre tout le monde d'accord réchauffement de la planète, peut-être suis-je trop pessimiste.
Mais comment faire renoncer les chinois et les indiens à la modernité ? ils sont partis dans une course effrénée dans le modèle de développement occidental et conséquence, le réchauffement de la planète...vastes sujets !
lundi 5 novembre 2007
Statistique ethnique
Cette disposition de la loi hortefeux a fait l'objet d'un recours devant le conseil constitutionnel.
Une mobilisation massive est nécessaire pour empêcher une telle pratique.
Signez la pétition sur www.fichepasmonpote.com : http://www.fichepasmonpote.com
dimanche 4 novembre 2007
Cinema : mon meilleur ennemi
Allez lire la fiche du film en cliquant sur le titre.
Je pense un bon complément au livre de Jonathan Littell "les bienveillantes".
Les fascismes ne sont pas morts ...!!!