Ce soir je vais vous parler d'un écrivain portugais de la 2ème moitié du 19ème siècle.
Eça de Queiroz est considéré comme un des plus illustre écrivain portugais et est traduit en français aux éditions La Différence. Pour vous faire une idée cet écrivain naturaliste peut être comparé à Flaubert et Zola.
J'avais lu il y a quelques années "le crime du padre Amaro" ouvrage remarquable assez Flauberien et un livre plus léger mais intéressant "Alves et Cie".
Je suis retombée sur cet auteur à la médiathèque de Toulouse et je suis dans "son excellence le comte d'Abranhos" et suivra "l'illustre maison de Ramirez". Il décrit avec humour et dérision la société et les moeurs portugaises de l'époque.
Toute comparaison d'époque mise à part, je pourrais faire un parallèle avec un roman paru cette année, "l'éclatement de la durite" de Jean Rolin et qui décrit sans fard l'état actuel (et passé) de délabrement des états africains en particulier ici le Congo.
Le népotisme, la corruption et le pouvoir assis sur le crime sont des constantes bien ancrées.
Bonne lecture si ça vous dit.
samedi 25 août 2007
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2 commentaires:
Ton blog, belle Cami a la texture du papier.
Celui d’une impression où le caractère restera immortel.
Dire qu’il est si simple de lire entre les lignes.
Tourner la page prend ici tout son sens …….sourire Philippe
Ta prose poétique est toujours aussi hermétique Philippe.
Je vais peut-être avoir un siège à l'Académie à cause de mon "caractère",
si j'ai su lire entre les lignes...
sourire et bises
Cami
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