samedi 20 octobre 2007

sorties associatives

Annie ma chère prof d'espagnol me pilote depuis quelque temps dans les associations lesb toulousaines.
(je n'apprends pas l'espagnol je suis trop fainéante pour cela mais je donnerais volontiers quelques cours d'utilisation de l'ordinateur à ma bienfaitrice)

Elle m'avait emmenée dimanche dernier dans la campagne lauragaise à une "garden party" d'une trentaine de personnes organisée parBagdam et sa responsable Jacqueline.
Il faisait beau, nous avons passé une excellente journée et admiré les œuvres de notre hôtesse. Voir le site de Bagdam
http://www.bagdam.org/

Et hier, agréable soirée avec l'association "Violette et Marguerite" de Toulouse qui organisait un diner-débat au restaurant vert caramel.
Nous étions en plus petit comité, 8 personnes.
Gabrielle que j'avais déjà rencontré à Bagdam était présente et j'ai fait la connaissance, entre autres, de l'animatrice de l'asso Laurence ainsi que de Sylvie nouvelle comme moi à Toulouse qui arrive d'Alsace.
Cette association organise en plus des réunions mensuelles (à ce que j'ai compris) des ballades et randonnées...les ballades, moins sportives, m'intéressent dans un premier temps. Pour les randonnées plus sportives il faut être entrainée.

jeudi 18 octobre 2007

humeur

Il y en a marre

1 - la rémunération des stages

c'est scandaleux ce qui se passe depuis trop longtemps, les stages gratuits des étudiants.
Souvent ils occupent un poste de responsabilité conforme à leur niveau d'études en remplacement d'un salarié en congé ou bien pour faire face ponctuellement à un surcroit de travail.
Ils devraient être rémunérés correctement, ils ont des frais de transport, il faut bien vivre et payer l'air qu'on respire !
Au début des années 60, j'ai été stagiaire rémunérée pendant une année universitaire au CEA au cours de ma dernière année d'étude d'ingénieure et fait des petis boulots aux NMPP et ailleurs pendant les vacances scolaires et j'ai toujours été payée correctement.
Ces stages étaient rémunérés, déclarés et ont compté pour la retraite (cotisations)
Ce qui se passe actuellement avec les jeunes est ni plus ni moins l'exploitation d'une catégorie de travailleurs par les entreprises (surtout les petites et moyennes à ce qu'il me semble).
Il faudrait que cela cesse et que la jeunesse soit accueillie et respectée.

2 - Le divorce Sarkozy

Laissons le tranquille.
Ce qui lui arrive est banal et je pense à lui.
Il semble, d'après le déroulement de son histoire, que c'est elle qui part. Il l'aime, elle ne l'aime plus.
Il doit être triste et se retrouver seul devant les problèmes, les réformes à faire passer, le poids des responsabilités sans le soutien d'une épouse amoureuse au sein d'un havre de paix familial doit être dur à supporter.
Politique fiction : Ségolène est libre, comme Sarko, alors.....
Laissons le tranquille dans sa tristesse.

3 - La caisse noire de l'IUMM

Cette histoire est à peine croyable.
Pourtant cette caisse noire de plusieurs centaines de millions d'€ existe ! Je ne croyais pas qu'il existait des associations déclarées (en dehors de l'OM) ayant pignon sur rue qui officient sans aucun contrôle, aucun bilan...un chef d'entreprise déclarait à la radio qu'il avait 3 bilans, un pour les services du fisc, un pour ???(je n'ai pas saisi) et un pour lui !
Mme Parizot patronne du MEDEF s'étonne de l'existence de caisse noire.
Yvon Gattaz longtemps patron des patrons dit que ces caisses noires servent à rémunérer les syndicats...
j'ai entendu dire que la caisse noire sert à soutenir les petites entreprises pour tenir en cas de grève.
Dans quelle état bananier vivons nous ?
La justice a du travail !...mais elle manque de moyens.

mercredi 17 octobre 2007

les blogueurs menacés

Un article de libé

Liberté de la presse dans le monde : les blogueurs menacés

par Astrid Girardeau

tags : liberté d’expression, censure

Les trous noirs du web, selon RSF - DR

L’association Reporters sans Frontières vient de rendre public son Classement mondial de la liberté de la presse 2007. Parmi les évolutions fortes, ils rapportent que la répression s’est élargie de façon significative à Internet. A côté des journalistes professionnels, les blogueurs sont désormais de plus en plus victimes des atteintes à la liberté d’expression et d’information.

A travers les coupures médiatisées de YouTube ou Google, c’est tout Internet qui devient un terrain de violations de ces libertés. Et surtout, selon le rapport : « les blogueurs n’échappent plus à la répression ». Ils indiquent ainsi qu’un certain nombre de pays (Malaisie, Thaïlande, Vietnam, Egypte, etc.) ont reculé dans leur classement en raison d’« actions graves et répétées » à l’encontre de la diffusion de l’information menées sur le web. Cela peut aller de la fermeture temporaire d’un site jusqu’à l’arrestation de son auteur.

Une multiplication des cas de censure qui inquiète RSF : « De plus en plus de gouvernements ont pris la réelle mesure du rôle essentiel que peut jouer Internet dans le combat pour la démocratie et mettent en place de nouveaux moyens de censurer le Réseau. Les autorités des pays répressifs s’en prennent désormais avec la même force aux blogueurs et aux journalistes en ligne qu’aux employés des médias traditionnels. »

Aujourd’hui, RSF comptabilise au moins soixante-quatre personnes emprisonnées pour s’être exprimées sur Internet. La Chine reste la championne de la catégorie avec cinquante cyber-dissidents détenus dans ses geôles, dont Shi Tao et Wang Xiaoning particulièrement médiatisés pour leur action en justice contre Yahoo. Derrière on trouve le Vietnam avec huit prisonniers, puis le Bélarus, la Syrie, l’Iran, la Jordanie, la Libye, la Syrie, et l’Egypte.

Le rapport confirme l’étude de l’OpenNet Iniative sur le filtrage sur Internet dans le monde, qui soulignait une augmentation et une sophistication du filtrage d’Internet. « En 5 ans, on est passé d’un filtrage d’état d’une poignée de pays à 25 », soulignait John Palfrey, directeur du Berkman Center d’Harvard, lors de sa présentation en mai dernier.

dimanche 14 octobre 2007

Les dirigeants voleurs

L'affaire EADS
On nous prend pour des imbéciles, qui peut croire qu'il n'y a pas eu délit d'initié.
Comme par hasard tous les dirigeants et cadres supérieurs possédant ces stock options ont vendu au même moment.
L'ouvrier d'EADS travaillant sur cette affaire savait à cette époque que le programme A380 aurait du retard et les dirigeants eux n'étaient pas au courant ?
(j'ai plus de 30 ans d'expérience industrielle et je sais comment ça se passe)
Ces gens là nous prennent vraiment pour des idiots!
Ils n'ont même pas le courage de dire la vérité. Pauvre monde !
et je rajoute qu'ils sortiront blanchis de cette affaire, parce que la justice est de classe.
Si ce n'est pas le cas, peines de prison ferme et remboursement intégral des plus-values frauduleuses, je réviserai ma position sur cette justice.



Arnaud Lagardère blanc comme neige



«Je n'ai été informé des nouveaux retards de livraison [de l’A380] que le 12 juin 2006», soit deux mois après avoir vendu sa participation dans l'avionneur. Il nie donc tout délit d'initié. Une interview accordée au JDD, journal dont il est le propriétaire.
Libération.fr (source Reuters)


LIBERATION.FR : samedi 13 octobre 2007
Arnaud Lagardère, président du groupe qui porte son nom, nie tout délit d'initié dans l'affaire EADS et affirme dans un entretien au Journal du dimanche qu'il n'a appris qu'en juin 2006 les retards de livraison de l'A380, deux mois après avoir vendu sa participation. «Je n'ai été informé des nouveaux retards de livraison que le 12 juin, à l'occasion du conseil d'administration», dit-il dans un entretien au journal dont il est le propriétaire. Il assure qu'il n'a donc commis aucun délit d'initié en vendant en avril 2006 à la Caisse des dépôts, une institution financière publique, sa participation.

Selon lui, cette décision de vendre sa participation a été dictée non pas par l'objectif de réaliser une forte plus-value avant que le titre EADS ne chute mais par une stratégie générale. «Depuis 1999, j'ai toujours dit, j'ai répété publiquement que mon groupe avait vocation à se recentrer sur les médias.»

Il estime par ailleurs que la publication dans le journal Le Figaro d'un rapport d'étape de l'Autorité des marchés financiers (AMF) signalant le caractère suspect des ventes de titres résulte de «fuites à l'évidence volontaires», destinées à lui nuire. Il ajoute que Dominique de Villepin, alors Premier ministre, a été informé de son intention de se désengager d'EADS dès janvier 2006. «Dès janvier 2006, mes collaborateurs ont eu des réunions répétées et à haut niveau concernant l'opération avec les services du Premier ministre. Elles portaient sur le schéma envisagé, le calendrier, etc. Matignon a suivi l'opération depuis le début», dit-il.



SUITE le 25 octobre







vendredi 12 octobre 2007

Une artiste toulousaine, Marie Pujo

Je t'ai trouvée sur le net Marie- ma prof de peinture -
voici un extrait de ses tableaux




http://lecapechalacote.free.fr/doc/2004/pujog.jpg

jeudi 11 octobre 2007

cannabis

En quelque sorte c'est comme pour les chiens !
La prohibition du cannabis va avoir pour effet le développement de la consommation surtout chez les jeunes, et l'enrichissement des trafiquants.
Ces mesures gouvernementales me semblent bien inutiles parce que au résultat incertain.
On ferait mieux de s'attaquer aux vrais problèmes : les déficits chroniques des finances de l'état et la restauration d'une éthique morale irréprochable chez les hommes de pouvoir (je pense en particulier aux stock options et au délit d'initié).


Gherasim Luca poète surréaliste roumain

J'ai découvert la poésie de Ghérasim Luca au café poésie de Carcassonne du début du mois. Son poème "passionnément" apparemment très connu a été dit de façon admirable, c'était un grand moment de poésie qui restera dans mes souvenirs.

Je vous recommande ce poète édité dans la collection poésie de Gallimard (ISBN 978-2-07-041069-9)

Ecoutez "Passionnément" dit par l'auteur.
ou en faisant un copier-coller dans votre navigateur

http://editions-hache.com/luca/luca1.html

Un grand moment ! vous ne trouvez pas, j'adore !

et quand il est bien dit c'est un régal dans un grand éclat de rire.


Voici sa biographie, trouvée sur wikipedia bien sûr !

Ghérasim Luca (ou Gherashim Luca) (23 juillet 1913 Bucarest - 9 février 1994, Paris) est un poète roumain et un théoricien du surréalisme.

Ghérasim Luca nait en Roumanie dans un milieu juif ashkénaze, comme son ami Paul Celan (il se suicidera comme lui).

Il prend part à la fondation puis à l’activité du groupe surréaliste roumain, mené par Tzara, Fondane, Brâncuşi, Brauner.

En Roumanie, avant la fin de la guerre, il publie son manifeste non-œdipien.

A partir de 1952, il s'installe définitivement à Paris où il vit pauvrement à Montmartre, rue Joseph de Maistre.

Il parle le yiddish, le roumain, le français et l'allemand et devient un poète francophone surréaliste reconnu.

Son ami et complice Jacques Hérold, peintre, placarde sur les murs de Paris, peu avant mai 1968, une liste de tableaux imaginée pour lui par André Breton et des poèmes de Luca.

A partir de 1973, les philosophes Gilles Deleuze et Félix Guattari lui rendent hommage. Deleuze le cite dans L'Abécédaire (Parnet).

Ghérasim Luca lit lui-même ses poèmes, joue avec les structures syntaxiques, fait bégayer la langue, basés essentiellement sur des jeux de mots et des balbutiements maîtrisés, par séquences et saccades. André Velter lui consacre, de son vivant, plusieurs articles du Monde des Livres et enregistre deux de ses récitals pour France Culture.

En 1994, il est expulsé de son appartement, officiellement pour des raisons d'hygiène. Il avait passé 40 ans en France sans papiers. Le 9 février, il se suicide en sautant dans la Seine.

Il vivait avec la peintre Micheline Catty.


mercredi 10 octobre 2007

Soutine


Je relaye ici l'info d'une amie sur un certain forum...

Y'a plus Krokodile...
mais pour ceux et celles qui ont la chance d'habiter à Paris

http://www.pinacotheque.com/expoAVP.fr.html

Les sans-papiers, article de LibeLyon

Lorsqu'une élue choisit de cacher des sans-papiers

Nathalie Perrin, maire du Ier arrondissement de Lyon, explique son choix

SOCIETE -Nathalie Perrin-Gilbert, maire du premier arrondissement de Lyon, a choisi de révéler publiquement qu'elle avait hébergé des personnes sans papiers. Chez elle, et dans sa mairie (papier).
Elle revient pour LibeLyon sur ce choix, et sur les conflits de loyauté qu'il pose à une élue.

Pourquoi avoir choisi d’héberger des personnes sans-papiers chez vous et dans votre mairie ?
Mes contacts avec des personnes dans cette situation remontent à 2005. La directrice d’une école maternelle m’avait alerté sur le cas d’une dame originaire de la République démocratique du Congo. Elle était présente depuis 2000 en France, avait une petite fille scolarisée depuis septembre et se retrouvait à la rue. Je l’ai rencontrée dans mon bureau, à la mairie. C’est une femme qui avait été emprisonnée et violée dans son pays, se trouvait dans une grande détresse, pas loin de mettre fin à ses jours. Je me souviens qu’elle se griffait les mains. Je suis d’abord allée faire des courses avec elle. J’étais au départ dans une démarche humanitaire. Une semaine plus tard elle a été prise en charge au Vinatier puis un légiste reconnu par la Ddass a confirmé les violences subies et les risques suicidaires. Elle a été hospitalisée dans une clinique post-traumatique et je me suis occupée de sa petite fille. La mère venait la voir régulièrement, pouvait dormir chez moi si elle le souhaitait. Qu’elle soit femme et qu’elle ait une enfant a sans doute constitué une porte d’entrée qui m’a touché. Puis une dimension plus politique s’est inscrite. Ce qui m’a posé question c’est qu’elles se soient sorties de cette situation grâce aux parents d’élèves, pas aux institutions. En tant que maire, j’aurais pu passer à côté.

Pourquoi dites-vous que vous êtes passée d’une démarche humanitaire à un engagement plus politique ?
A partir de cette rencontre, je me suis ouverte sur les questions d’immigration, d’asile, qui n’étaient pas au cœur de mes engagements. J’étais plus à l’écoute de ces situations, et des personnes qui soutiennent les sans-papiers. J’ai aussi pris conscience des injustices dans l’application de certaines lois. Il y a une part d’aléatoire, d’arbitraire, dans les décisions de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) et des circulaires de régularisation. Je me retrouve aujourd’hui dans les positions de certains élus comme la sénatrice Christiane Demontès. Il faut réclamer l’examen des situations au cas par cas, pas au compte-goutte. La dame que j’ai rencontré en 2005 était par exemple arrivée de RDC en même temps qu’une compatriote. Malgré ce qu’elle avait subi, l’autre a obtenu un statut en quelques mois, elle non. En l’accompagnant au service des étrangers de la préfecture, j’ai aussi parfois eu la nausée devant les arguments que j’ai entendus. J’ai réalisé qu’une administration peut à tout moment se mettre au service d’un projet politique. Sans comparer ce qui n’est pas comparable, je comprends mieux comment Vichy a pu se mettre en place, article de loi respecté après article de loi respecté. (souligné par Cami)

N’est-il pas gênant pour une élue de se mettre hors la loi ?
Je trouve important que les élus soient exemplaires. En tant qu’élue, je dois respecter la loi de mon pays. Je ne me sens pas du tout l’âme d’une révolutionnaire, je ne prône même pas la désobéissance civique et je préfèrerais répondre à ces situations d’urgence légalement, sans avoir choisir entre le respect de la loi et l’assistance à personnes en danger. Quand on peut faire avancer des situations de détresse avec les institutions, la préfecture, c’est mieux bien sûr. Je n’ai pas mis en danger la République et les institutions. Je n’ai nui à personne.

Pourquoi révéler tout cela aujourd’hui ?
C’est une façon d’être aux côtés de gens exemplaires. Un curé de mon quartier qui héberge des sans-papiers, des parents d’élèves, des enseignants. Il est important de montrer à ces gens qu’ils ne sont pas seuls. Je pense qu’il est fait le pari aujourd’hui d’un essoufflement des soutiens, des forces militantes. Il faut montrer que ce n’est pas le cas, que d’autres peuvent se lever, qu’on ne baisse pas la garde. Je pense important de montrer publiquement que nous ne sommes pas d’accord avec tout ce qui se passe en ce moment, et que nous n’accepterons pas toutes les intimidations.
OLIVIER BERTRAND

mardi 9 octobre 2007

Mauritius

Flic en Flac - Sur la côte ouest, au sud de Port Louis, la plage de Flic-en-Flac, est un village très touristique. Proche de tous les services en animations comme banques, restaurants, bars et night-clubs, c'est à moins d'1 km des casinos et des hôtels de plage. La plage de Flic en Flac fait plus d'un kilomètre et demi de long et on s'y baigne toute l'année. C'est aussi un paradis de la plongée avec ses nombreuses grottes et épaves.

Dépaysement garanti.
En septembre le défilé à Flic en Flac pour la fête de Ganesh chez les hindouistes






le cyber café "dodo surfeur" de Flic en Flac, la plage à la mode.


Le dodo (surfeur)



http://fr.wikipedia.org/wiki/Raphus_cucullatus

Image:ExtinctDodoBird.jpg


Le dodo de l'Ile Maurice, espèce animale aujourd'hui disparue

lundi 8 octobre 2007

Film caramel

Je suis allée voir un film franco-libanais "caramel", il passe dans les salles d'art et d'essai.
J'ai trouvé le film pas mal mais je suis difficile sur le cinéma, peu de films m'enthousiasment.
C'est quand même à voir...dans le genre vénus beauté.


Le tableau fini



Il est fini, ouf!!! je passe à autre chose

jeudi 27 septembre 2007

Baoulé



STATUETTE BAOULE (CÔTE D'IVOIRE)
(mon premier tableau 30X40 pas complètement terminé)

Dans l'univers BAOULE le monde matériel s'oppose au monde spirituel BLOLO. De là viennent les âmes, et c'est là qu'elles retourneront.
La statuaire BAOULE, souvent d'un raffinement extrême, laisse une grande place à la représentation des conjoints spirituels vivant dans l'autre monde et permettent le contact avec eux par le truchement de ces statues.
Peuple AKAN venu du Ghana, les BAOULE ont emprunté cultes et masques à leurs voisins WAN et GOURO.

Dimanche 30 sept.

Je n'ai pas attendu les conseils de ma prof de peinture pour terminer, je me suis "légèrement" lâchée !
J'ai complété par un collage. Tout est signifiant dans le tableau, au moins pour moi.
...(10 oct.) tellement signifiant et nul que je l'ai effacé.




Mardi 2 octobre

Je me suis plantée, je m'en doutais en voyant le résultat, je n'étais pas franchement satisfaite.
c'est le moins qu'on puisse dire.

Je rentre de mon cours de peinture et le conseil de la prof est de supprimer tous les collages et de laisser la statuette seule dans la toile. ..éventuellement mettre un tout petit oiseau dans le ciel.
Je vais tout virer et faire un fond sympa, si j'y arrive.
l'oiseau ? où est donc l'oiseau?





lundi 24 septembre 2007

cambriolage

Triste et révoltante nouvelle.
Cet après-midi ma voisine de pallier a été cambriolée. Une jeune femme, nouvelle à Toulouse pour raison professionnelle qui n'a pas hésité à se bouger, elle a emménagé il y a un mois...elle pleurait en répertoriant au milieu de son appartement saccagé les objets volés.
Ces personnes qui travaillent, qui payent les cotisations sociales, les impôts sur le revenu et qui maintiennent le pays à bout de bras permettent à de millions de ne pas mourir de faim. Et bien ces valeureuses personnes sont dépouillées par des malfrats sans scrupules qui préfèrent le vol au travail.
Le cambriolage d'un appartement devrait être dans le droit pénal puni comme le viol, parce que voir dans l'état ou était l'appartement et ce qui a été souillé, pour moi peut être considéré comme un viol.
Que risque un cambrioleur, s'il est arrêté ? un à 2 ans de prison et avec le sursis, c'est à dire pas grand chose. Ce n'est pas dissuasif, il faudrait des peines beaucoup plus lourdes, de l'ordre de 10 ans et plus!
Je suis triste ce soir, la société doit changer, nous vivons dans un monde déshumanisé.

vendredi 21 septembre 2007

Acrylique

Après une très longue absence je me suis remise aux pinceaux. Ce n'est plus l'huile mais l'acrylique plus facile à mettre en œuvre et à maitriser pour les amateurs débutants.
Depuis le début du mois je suis des cours de peinture acrylique et techniques connexes (collage, ...) dans une galerie associative proche de chez moi afin d'acquérir un minimum de savoir faire. C'est très intéressant.

http://lulumirettes.free.fr/

Parallèlement au cours, j'ai commencé chez moi le croquis de ma baoulé seul élément figuratif que je compte faire apparaitre dans mon premier tableau, si j'arrive à le finir, je travaille par à-coups donc lentement !

...et ce soir c'est l'inauguration de la galerie d'une artiste plasticienne au rez-de- chaussé de mon immeuble, superbe espace vaste et bien éclairé.