dimanche 30 décembre 2007

dimanche 23 décembre 2007

Lil

Lundi soir rencontre de Lil, amie bressane et quebéquoise de passage à Toulouse.

Je connais Lil par internet depuis presque 2 ans et nous avons enfin fait connaissance de visu. Rencontre et soirée très agréable d'une personne riche de culture et d'humanité.

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samedi 22 décembre 2007

Cinéma

Je viens de voir 3 films ces jours-ci avec ma "copine" . Ils passent dans les salles d'art et d'essai (elles existent encore heureusement)
Nous sommes tombées d'accord sur l'appréciation de ces films.

Deux ne méritent pas le détour (à peine 5/10), pourtant ils ont une assez bonne critique.
c'est :
un baiser s'il vous plait un peu "cucu", inintéressant
et La graine et le mulet qui est un film qui sent vraiment l'amateurisme aussi bien dans la prise de vue que dans les dialogues.
Ces 2 films sont à éviter.

Le 3ème film est remarquable, je lui donne 9/10
de l'autre côté est un film abouti, une histoire de notre temps bien filmée et bien jouée qui nous la rend intéressante. A voir absolument.

(cliquez sur "cinéma" pour lire la critique du Monde de ce film)

mardi 18 décembre 2007

S.D.F.

(cliquez sur le titre) pour ouvrir le lien suivant
http://www.liberation.fr/actualite/societe/298714.FR.php?rss=true

jeudi 13 décembre 2007

Filles de l'art

Jeudi soir rencontre-débat à la librairie ombres blanches de Toulouse avec les auteures du livre "femmes artistes, artistes femmes"
Rencontre instructive et un art méconnu à découvrir que ce bel ouvrage ouvre à la connaissance (reconnaissance)
(cliquez sur le titre pour lire l'article de libération paru jeudi 13 décembre sur ce livre)

mercredi 12 décembre 2007

Cours peinture

Je continue à publier le résultat de quelques travaux réalisés au cours.
Ces travaux sont divers...

Fusain sur support "isorel" d'après modèle de 2 statuettes de BiBi Blanchet
(fait en une séance de 2 heures)

(cliquez sur le titre pour voir son site)


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Sexualités autres

par une journaliste spécialisée dans les contre-cultures

http://sexes.blogs.liberation.fr/agnes_giard/

mardi 11 décembre 2007

Ma maison à la campagne

Dans le Lauragais, un tout petit village resté en l'état du 19ème siècle. Commune de 72 habitants. Dans le fond la maison.

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et à la demande de Chris la terrasse

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lundi 10 décembre 2007

dimanche 9 décembre 2007

Rachmaninoff

Concerto pour piano N°2 avec Hélène Grimaud
1er mouvement moderato



vendredi 7 décembre 2007

Concert à la halle aux grains

Hier concert de l'orchestre national du capitole de Toulouse à la halle aux grains dirigé par Tugan Sokhiev avec Truls Mork violoncelle.

Magnifique.

Le programme était
Borodine : dans les steppes de l'Asie centrale
Dvorak : concerto pour violoncelle en si mineur, op.104
Chostakovitch : symphonie n°5 en ré mineur, op.47

Ma culture musicale s'arrêtait à Malher fin 19ème/début 20ème et Ravel un peu plus tard, j'avais un peu peur de l'inconnu Chostakovitch.
J'ai été emballée, j'avais la larme à l'œil pendant le largo...ma pauvre mère aurait aimé, elle qui était passionnée de musique classique.

Le vendredi 14, la halle aux grains donne le requiem de Verdi.
ça me tenterai bien mais j'ai peur de pleurer tout le temps.
Il n'y a peut-être plus de place, je me trouve une excuse mais pas valable puisque j'ai eu une place au parterre quelques heure avant la représentation d'hier soir, il faudrait me pousser...

Et puis parmi les concerts qui m'intéresseraient
le 1er février il y a Weber et Beethoven,
le 15 février Brahms et Stravinski,
le 3 avril Messiaen, Ravel et Chostakovitch,
le 15 mai Beethoven avec la pastorale
et le 15 juin Schumann, Prokofiev et Scriabine avec Hélène Grimaud ma préférée.
J'irais bien à quelques de ces concerts, c'est si facile pour moi.

(cliquez sur le titre pour en savoir plus sur la halle aux grains et l'orchestre national du capitole de Toulouse)

jeudi 6 décembre 2007

Sciences

Une nouvelle piste pour le stockage de l'hydrogène dans les voitures

(cliquez sur le titre pour lire l'article)

mercredi 5 décembre 2007

Les cités


Ma cité vue d'en face
LE MONDE | 05.12.07

© Le Monde.fr

Les infirmières

Un blog intéressant à lire d'une infirmière de nuit.

(cliquez sur le titre)

Fra angelico

Le baiser de Judas
(cliquez sur le titre dans une nouvelle fenêtre par un clic droit)

L'annonciation
(copier/coller dans votre navigateur)
http://www.artbible.info/art/large/255.html

mardi 4 décembre 2007

Le mal-être ou mal-vivre (suite)

Grisée

(cliquez sur le titre ou copier/coller le lien suivant dans votre navigateur)

http://deboires.blogs.liberation.fr/denoe/2007/12/grise-ou-qui-a.html

samedi 1 décembre 2007

Maurane

A voir et écouter.
Dans le menu vous avez d'autres chansons comme "sur un prélude de Bach" que j'aime beaucoup.

mercredi 28 novembre 2007

La vie dans une cité, le bruit et l’odeur !

Vignette_naderaTémoignage d'une étudiante habitant une cité à Clichy-sous-bois


Je suis fatiguée, exténuée, lessivée ! La rentrée a été dure pour ma petite personne. A la fac de Cergy-Pontoise pour la quatrième année consécutive, je me lasse de mes 200 minutes de transport quotidiennes. Et en ces temps de grève, c’est plutôt 360 minutes.

Mais j’aime bien ma petite fac de la banlieue ouest, la belle banlieue. C’est mon petit paradis culturel. La fac, la bibliothèque, les cinémas, la patinoire, la piscine, le parc de la préfecture, le conservatoire de musique et une vraie diversité de population. Alors, vous comprendrez aisément la larme qui me vient au coin de l’œil quand je rentre à Clichy-sous-Bois où mes oreilles et mon nez sont constamment agressés.

Arrivée dans le hall de mon bâtiment délabré, c’est la bande de «djeuns» que je dois traverser pour accéder à mon ascenseur. Ça gueule fort au lieu de parler, ça rit aux éclats, ça se dispute pour des broutilles. Je plains les habitants du rez-de-chaussée dont les fréquences de déménagement se font beaucoup plus élevées que dans les étages. Quel bruit !

En attendant mon ascenseur, là c’est l’odeur qui m’interpelle, l’odeur des détritus qui jonchent les escaliers menant vers les caves où les gens sont supposés déposer leurs ordures. C'est un sac poubelle éventré d’où dégoulinent les ordures ménagères vraisemblablement d’un des habitants de cet immeuble. Vraiment pas de respect de la vie en communauté chez certains. Je plains ceux du rez-de-chaussée.

L’ascenseur arrive enfin et c’est armée de ma grosse écharpe H&M que je me couvre le nez pour ne pas sentir l’odeur de pissouille ancrée dans les murs et sur le sol. Non non ! Ce n’est pas un chien qui s’est laissé aller.

Arrivée à mon étage je cours hors de ces toilettes ambulantes. Il fait noir. J’allume. Devant ma porte, une jeune fille et un jeune garçon adossé au mur, les jambes écartées. La jeune, apeurée, baisse les yeux à ma vue. Perplexe, je leur demande d’un ton exaspéré ce qu’ils foutent là. «Rien, rien», me rétorque le jeune garçon. La scène me paraît curieuse donc j’insiste. «Mais rien, c’est bon !»
Les paroles d’un autre garçon dans le hall d’entrée me reviennent à l’esprit. «C’est 10 euros !»
Je ne préfère pas pousser la réflexion plus loin. Fermer les yeux, c’est tellement plus facile. Elle a à peine 16 ans, je dirais. Merde !

Je me précipite chez moi, mon chez moi avec mon odeur et le bruit de gens qui me sont chers.
Dans mon lit, j’attends que Morphée vienne me bercer. Mais, qu’est ce que ça sent ? Le shit ! Ça fume dans ma cage d’escalier. Ça pue dans ma chambre qui est proche de la porte d’entrée. Ce soir, j’ai pas envie de me disputer et mon père ne veut surtout pas qu’on se fasse remarquer dans cette cité.
Mais y’en a marre quand même !

• Nadera Massoma •

lundi 26 novembre 2007

Un dimanche à la campagne

Avec l'association toulousaine "Violette et Marguerite" promenade dominicale dans le village de ma campagne de la piège (partie du Lauragais). Merci à Hélène pour ces belles photos.
Il faisait beau, nous avions les Pyrénées au loin, et la ballade pas trop longue s'est terminée par un casse-croute en plein soleil sur la terrasse de ma maison.

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L'escalier menant au village

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Le moulin sur la ligne de crête

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La croix du pastellier dans le village (classée)

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Une des nombreuses croix au détour du chemin

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Le groupe (sans Hélène la photographe)

vendredi 23 novembre 2007

Le mal-être ou mal-vivre (suite)

Les mots d'une alcoolique.

http://deboires.blogs.liberation.fr/denoe/
(ou cliquez sur le titre)

jeudi 22 novembre 2007

Maurice Béjart

Regardez la video du boléro de Ravel (en 2 parties)


mercredi 21 novembre 2007

TV : Le clitoris, ce cher inconnu

TELEVISION
ARTE VENDREDI 23 NOVEMBRE 2007 DE 23H05 À 0H10 (65')


RÉSUMÉ


En 1998, le docteur Helen O'Connell, chef du service de neuro-urologie et de continence du Royal Hospital de Melbourne, lançait un pavé dans la mare en affirmant que les représentations médicales du clitoris étaient toutes erronées et que les scientifiques s'appuyaient sur des descriptions anatomiques inexactes datant pour certaines du début du XXe siècle. Drôle de destin pour cet organe singulier, le seul à être exclusivement dédié au plaisir. Peut-être est-ce cette raison - son absence de rôle dans la procréation - qui a détourné l'intérêt des médecins de ce que l'Inquisition a surnommé jadis «mamelon de Satan» ? Quoiqu'il en soit, l'étude de l'urologue australienne a le mérite de mettre en lumière le rôle central du clitoris dans la sexualité des femmes, un domaine de recherche, il est vrai, fort récent.

CRITIQUE TELERAMA

2T
Documentaire de Michèle Dominici, Variety Moszinski et Stephen Firmin (France/Grande-Bretagne, 2003). 65 mn. Rediffusion.

Sur quinze manuels d’éducation sexuelle en Grande-Bretagne, dix ne mentionnent pas le clitoris, ni le plaisir féminin. C’est dire la terra ­incognita que représente ce petit organe féminin qui n’a d’autre fonction que le plaisir, justement. Cette petite info retient l’attention du téléspectateur, ce qui ne veut pas dire pour autant que l’aspect strictement anatomique exploré aussi par la réalisatrice Michèle Dominici soit de moindre intérêt. Mais il y a dans cette étrange absence quelque chose de palpitant. On touche là au cœur de la diabolisation des femmes, et c’est cet aspect-là qui rend la méconnaissance du clitoris si éclairante. Parce qu’il est synonyme de plaisir solitaire ou pas, il devient, puritanisme aidant, le symbole d’une certaine liberté des femmes. On connait la chanson, femmes libres égale dangereuses, égale sorcières au Moyen Age, égale hystérie et épilepsie jusqu’à il y a une trentaine d’années à peine, égale donc excision… Sans oublier l’impayable Dr Freud, qui parlait de l’orgasme clitoridien comme d’une manifestation infantile. Un diagnostic qui tombe à pic et qui va singulièrement arranger les hommes et leurs lois puisque l’orgasme clitoridien concerne 70 % des femmes, qui, comme chacun le sait, sont majoritairement infantiles. Quand on pense qu’au XVIIe siècle un savant hollandais particulièrement éclairé et néanmoins oublié de l’histoire concluait ses études sur le sujet par cette affirmation : « Sans le clitoris, aucune femme n’accepterait de faire des enfants. »

Marie Colmant

La nuit sexuelle



De Pascal QUIGNARD

Magnifique ouvrage à feuilleter et à s'imprégner lentement au fil du temps. (un peu cher, mais bof, le passage sur terre n'est qu'une des nuits entre les nuits utérine et mortelle)

« Comment voyagent les âmes des hommes dès l’instant où elles désirent se remémorer leur source sexuelle ?
Dans la nuit.
Il y a trois nuits.
Avant la naissance ce fut la nuit. C’est la nuit utérine.
Une fois nés, au terme de chaque jour, c’est la nuit terrestre. Nous tombons de sommeil au sein d’elle.
Enfin, après la mort, la nuit qui régnait à l’intérieur du corps se décompose à son tour dans un effacement que nous ne pouvons anticiper. Cette nuit n’a plus aucun sens pour s’aborder. C’est la nuit infernale.
Ainsi y a-t-il une nuit totalement sensorielle qui précède l’opposition astrale du jour et de la nuit. Nous procédons de cette poche d’ombre. L’humanité transporta cette poche d’ombre avec elle, où elle se reproduisit, où elle rêva, où elle peignit. »
Pascal Quignard


Après Le sexe et l’effroi, Pascal Quignard pose l’indicible question des origines.

Pascal Quignard

La Nuit sexuelle
Flammarion
Octobre 07
279 pages / 85 €

Les peintures choisies tentent d’évoquer la nuit sexuelle, celle de la nuit fondatrice, invisible à jamais qui forme le secret des origines. La conception dissimulée de l’être humain entre ces peintures nocturnes, rejoint les amours mythologiques et bibliques.
Des estampes japonaises aux peintures occidentales, les œuvres déploient l’étreinte charnelle, sensuelle et érotique. Les sexes offerts, les peintures légères de Fragonard, les corps lascifs de Girodet, du Corrège, rejoignent les Noli me Tangere.
Pascal Quignard conte les amours et accouplements mythologiques, les filles de Lot enivrent leur père pour prendre sa semence. Les fils de Noé recouvrent le sexe dressé de leur père après une nuit d’ivresse. Hephaïstos surprend l’étreinte d’Aphrodite et Arès. Diane punit Actéon, témoin de sa nudité. Le désir, l’effroi, l’étreinte, le voyeurisme, les enfers suscitent des images qui relatent l’indicible.
Dans la nuit, le désir est camouflé. Psyché dévoile le visage de son époux qu’elle ne reverra jamais. Hero allume depuis une tour une flamme pour appeler son amant. Léandre se précipite au cœur des vagues qui l’emportent.
Mais la nuit est aussi celle de la dernière étreinte avec la mort. « La mort comme la première vie sont toutes deux si étrangement ténébreuses. »
Desiderio, Signorelli, Van der Weyden précipitent les corps en amas de chair souffrants. La nudité est celle de l’effroi. Les corps martyrisés disparaissent dans les flammes des enfers. L’étreinte macabre déshumanise la chair.
Chronos dévore ses enfants dans l’obscurité des mythes fondateurs.

Cette obscurité sensible est celle du livre aux pages noires d’encre, qui met en exergue la sensualité des peintures. Les nuits utérine, terrestre, infernale et mortelle sont les nuits de ce prodigieux ouvrage.
« Aussi les images immémoriales, magdaléniennes, archétypiques, idolâtres, irrésistibles, hallucinantes, involontaires poursuivirent-elles leur vie nocturne au travers des générations de coïts – de millénaires de coïts – qui sont eux-mêmes des images zoologiques sidérantes inlassables.
J’éprouvais une joie inlassable à les collectionner.
Ce livre les rassemble. »
La Nuit sexuelle est un ouvrage érudit. Mythes, poésie, désir, citations et mystères de la peinture convoquent l'imaginaire. Un livre troublant, d'une grande profondeur.
Alexandra Morardet

Soirée du mardi

Hier soir cours de peinture. Marie (notre charmante prof) nous a fait une surprise. Nous commençons un nouveau travail, comme à chaque séances...papier photo 60X50 environ et feutres couleur.
Moi qui croyais ne faire que de l'acrylique je suis servie, je suis ravie de découvrir, je m'émerveille des différentes techniques.
Le sujet ce soir est 'l'amour, la sensualité et la confrontation"
On "crayonne" avec les feutres et on étale au doigt, le résultat est bluffant...on croirait de la gouache. Je vous montrerai quand ce sera fini...même si ce n'est pas montrable.

En rentrant du cours à 21h30 je suis passée devant ma caviste, en face de mon immeuble.
Elle tenait une réunion et j'ai vu des verres et des bouteilles. Je suppose qu'elle donne des cours d'œnologie, il faudra que je me renseigne.
Choisir entre l'expression et le vin ce n'est pas possible ils se marient si bien. Alors le mieux est de peindre avec une bonne bouteille, ce que je n'ai pas encore fait (sourire)

mardi 20 novembre 2007

Copwatch en Californie


Copwatch : un oeil sur la police
LE MONDE | 20.11.07

© Le Monde.fr

Kmers rouges

allez voir la 3ème photo...


Le droit de l'enfant

Nous vivons une sale époque et je ne suis pas fière de notre gouvernement.
A l'heure ou les phalangistes espagnol se recueillent sur la tombe du caudillo (Franco est mort le 20 nov. 1975) nous expulsons manu militari de pauvres gens sans défense qui luttent pour leur survie.
Les droites ne sont pas mortes et ces temps de crise me font redouter le pire.
(cliquez sur le titre pour aller lire un blog sur les enfants des sans-papiers)

Libération

1 - Jour de grève aussi dans la distribution de la presse (NMPP)
Voici le libé de ce jour en format pdf (cliquez sur le titre)

2 - Et devinez le salaire de Kaka un footballeur brésilien de l'AC Milan ?

9 millions d'€ net annuel (il revient à 18 millions d'€ au club)
C'est jusqu'à maintenant le plus haut salaire d'un joueur.
A cela, rajouter les contrat de publicité que ces vedettes engrangent...des fortunes se font avec le sport.
Sarko est loin du compte !



jeudi 15 novembre 2007

la crise immobilière, les surprimes aux USA

Allez voir cette video pour comprendre ce qui se passe actuellement aux US...
(cliquez sur le titre)

Mardi 20 nov.
conséquences de cette crise sur le système bancaire mondial






dimanche 11 novembre 2007

Le cours d'acrylique à lulu mirettes


les verres et la statue en terre cuite (sur carton)


Totem


Le vide sous un drap... (crayon, encres et collage)

Marie à la galerie lulu mirettes





samedi 10 novembre 2007

Dati

Elle a un culot monstre !
un peu comme Sarko...mais dureront ils ?
Je n'aime pas ces gens qui semblent ne jamais douter et qui feront tout pour arriver au pouvoir.


vendredi 9 novembre 2007

Lettre à sa mère - Essenine

Chanté par Shapovalof E


Le racisme d'après l'ONU


jeudi 8 novembre 2007

café poésie

Un poème d'Essenine pour le café poésie de Carcassonne de ce soir

Lettre à sa mère

Tu vis encore, ma vieille mère ?
Moi aussi. Salut, salut à toi !
Pourvu que coule sur ton isba
Cette lueur du soir que nul n'a pu décrire !

On m'écrit que, cachant ton angoisse,
Tu t'es grossi le cœur très fort à mon sujet,
Que tu t'en vas sur la route bien des fois
Dans ton vieux caraco démodé

Et que souvent dans les premières ténèbres bleues
Tu vois une seule chose, toujours la même:
C'est comme si quelqu'un me poignardait au cœur
Au fond d'un cabaret dans une querelle.

Ce n'est rien, petite mère. Calme-toi.
Ce n'est rien qu'un pénible délire.
Je ne suis pas encore un pochard assez dur
Pour me laisser mourir sans te revoir.

Je suis resté, comme autrefois, pas méchant
Et ne rêve jamais qu'une seule chose:
Au plus vite quitter cette révolte, ce tourment,
Pour retourner dans notre maison basse.

Je reviendrai le jour où docile au printemps
Notre jardin candide aura tendu ses branches.
Seulement ne me réveille plus à l'aube blanche,
Ne me réveille plus comme il y a huit ans.

N'éveille pas ce qu'un rêve m'a pris !
Ne touche pas ce qui n'a pas réussi !
Elles sont trop précoces la perte et la fatigue
Qu'il m'est échu d'éprouver en ma vie.

Et ne m'apprends pas à prier. Pas la peine !
Il n'y a plus pour moi de retour au passé;
Toi seule es pour moi aide et fête,
Toi seule es la lueur dont nul n'a su parler.

Il te faut donc oublier ton angoisse;
Ne grossis plus ton cœur si fort à mon sujet
Et ne va plus sur la route tant de fois
Dans ton vieux caraco démodé.


et encore

J’aime immensément ma Russie.
Bien qu’en elle la rouille de la tristesse se penche en saule
Elles me sont douceur, la gueule sale des cochons
Et dans la paix des nuits la voix sonore des crapauds.
Je suis tendrement malade de souvenirs d’enfance.
La torpeur, la moiteur des soirs d’avril hantent mes songes.

On dirait que notre érable pour se chauffer
S’accroupit devant le brasier de l’aube.
O que de fois aux branches grimpé j’ai
Pour dénicher ou la pie ou le geai !
Est-il toujours le même, le chef tout en verdure ?
Et son écorce comme jadis est-elle dure ?

Et toi, mon ami,
Mon fidèle chien tacheté ?
La vieillesse t’a fait glapissant, aveugle,
Et tu traines par la cour, tirant ta queue pendante
Et le flair oublieux des portes et de l’étable.
Oh ! qu’ils me sont chers tous nos jeux de gamins :
À ma mère je volais un quignon de pain
Et nous y mordions tous les deux tour à tour
Sans jamais nous dégoûter l’un de l’autre !

Je n’ai pas changé.
Comme cœur je n’ai pas changé.
En bleuets dans les blés mes yeux fleurissent dans mon visage
Étalant, paille dorée, la natte de mes poèmes...

Serge Essenine (Extrait de La Confession d’un voyou)


mercredi 7 novembre 2007

L'énergie dans le monde

Cet article du Monde est intéressant parce qu'il explique la cause principale de la déstabilisation mondiale qui nous attend si rien n'est fait.
Je ne vois pas d'issue au cataclysme futur s'il n'est pas trouvé rapidement dans les dix ans qui viennent un équilibre mondial possible.
Risque de guerres pour l'énergie et pour mettre tout le monde d'accord réchauffement de la planète, peut-être suis-je trop pessimiste.
Mais comment faire renoncer les chinois et les indiens à la modernité ? ils sont partis dans une course effrénée dans le modèle de développement occidental et conséquence, le réchauffement de la planète...vastes sujets !


lundi 5 novembre 2007

Statistique ethnique

Le ministère de l'identité nationale prend une mesure pour distinguer les individus en fonction de leur couleur de peau, en fonction de leur religion et en fonction de leur origine : la statistique ethnique...

Cette disposition de la loi hortefeux a fait l'objet d'un recours devant le conseil constitutionnel.

Une mobilisation massive est nécessaire pour empêcher une telle pratique.

Signez la pétition sur www.fichepasmonpote.com : http://www.fichepasmonpote.com

dimanche 4 novembre 2007

Cinema : mon meilleur ennemi

L'image “http://www.monmeilleurennemi.com/images/index_02NEW.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.


Allez lire la fiche du film en cliquant sur le titre.
Je pense un bon complément au livre de Jonathan Littell "les bienveillantes".
Les fascismes ne sont pas morts ...!!!

mercredi 31 octobre 2007

Comment allez-vous ?

« Ça va bien, merci »

C’est la réponse entendue lorsqu’on vous demande comment allez-vous ou comment vas-tu ?

Surtout ne pas répondre, « je vais très bien » ça paraitrait suspect, qu’arrive t’il de si extraordinaire à Cami? Elle aurait gagné à la loterie? Mais je la sais pas joueuse.

Ou aurait-elle fait une rencontre amoureuse? C’est suspect, je vais essayer de savoir...

Si vous répondez « je ne vais pas bien » patatras ! vous mettez votre interlocuteur dans l’embarras, vous mettez les pieds dans le plat, personne n’attend cette réponse trop franche.

Il faut être neutre, ne pas ouvrir de suite son intérieur, jouer la comédie…alors la bonne réponse est « ça va et toi?» ou « je vais bien merci, et vous? ... Parce que quand on s’intéresse à vous il faut aussi s’intéresser aux autres et la conversation peut commencer…c’est comme les anglais « how do you do » et en réponse « how do you do » et on parle d’autre chose. C’est comme quand on croise une connaissance « salut », « salut »

Alors je vais pour une fois déroger à la règle.

Comment allez-vous ?

Pas trop bien

Depuis un an, je devrais dire plutôt 2 ou 3, je suis seule…non pas seule mais esseulée au milieu de connaissances et de quelques amis. Ça ne me suffit pas.

J’ai besoin d’amour, je veux parler de la relation amoureuse, c’est mon carburant de vie et je suis en panne sèche. C’est la première fois dans ma vie que je vis cette situation. Vous me direz, oui mais c’est la situation de millions de personnes dites « isolées » en France. Je le sais et ça ne me console pas. ça ne me console pas qu'on me dise que je ne suis pas la seule dans cette situation ou qu'on me dise qu'elle existe et la rencontrerai un jour, quelque part...Mais quand et où ?

Je n’ai pas d’addictions pour supporter et compenser. Pas d’alcool, de cigarette, shit ou autres drogues, ni de psychiatre et antidépresseurs. Non rien de tout cela. Ma seule addiction est l’amour et je suis en manque, à en crever. Le pire c’est que je ne vois pas la fin et s’il n’y a pas de fin j'y remedierai bien un jour…peut-être devrais-je voir un psy ?

Il est possible que ma quête de l’amour soit irréaliste étant trop marginale. Vous pensez, une "lesb" à la retraite donc "rangée des voitures" et de surcroit…non je ne vous dirai pas, une discrimination suffit mais j’en vis deux.

Comment allez-vous ?

Je vais bien, merci.

lundi 29 octobre 2007

Mes croûtes


les lutins, acrylique 30X30


personnages, acrylique 60X60



dimanche 28 octobre 2007

Lettre de Ségolène Royal depuis Buenos-Aires

intéressant, les femmes parlent de la politique différemment des hommes.
C'est manifeste dans cette lettre.
cliquer sur le titre pour ouvrir le lien suivant
http://www.spcm.org/Journal/spip.php?breve2557

samedi 27 octobre 2007

Le mal-être ou mal-vivre

Les blogs foisonnent, c'est la mode actuelle, et souvent ils expriment la détresse humaine.
Ici c'est la fuite dans l'alcool qui est l'expression du mal-vivre, du décalage quotidien entre ce que l'on voudrait vivre et la vie réelle ressentie comme un immense échec, de la solitude....
Voici un exemple parmi d'autres.

cliquez sur le titre pour ouvrir le lien suivant
http://deboires.blogs.liberation.fr/denoe/

vendredi 26 octobre 2007

Des nourritures terrestres à Toulouse

Non, il ne s'agit pas de Gide mais de mes 2 coups de cœur récents sur Toulouse.

Si vous allez au restaurant à Toulouse et que vous aimez la cuisine fine, je vous indique la meilleure table actuelle dans la ville (j'y ai déjeuné deux fois récemment) compter 20€ le midi et un peu plus le soir par personne. (qualité/prix imbattable dans la ville)
Le restaurant Saint Sylvain 17 rue de la colombette (situé juste en face de la rue Palaprat)

...et à côté une expo de toute beauté (j'aime cette peinture) d'un peintre audois Alain Gastou à la galerie Palladium 19 rue de la colombette. Le vernissage à lieu vendredi 26, c'est à dire maintenant.
Cliquez sur le titre pour accéder au site d'Alain Gastou ou copier/coller l'adresse suivante dans votre navigateur. (les toiles exposées ne sont pas celles du site)
http://www.alaingastou.com/

lundi 22 octobre 2007

La mémoire et l'histoire


gestion de crise

Je relais un post de Nad trouvé sur son forum (le voir plus loin)
Il explique et donne la bonne attitude à avoir en face de l'agressivité de certains rencontrés sur les forums.
Merci Nadya de ta grande humanité.

nadya





MessagePosté le: 20 Oct 2007 15:16 Sujet du message: Gestion de Crise

Je pense que ce n'est pas rendre service a une personne qui est mal
dans sa peau et qui agresse peut être pour cela les autres, de l'ignorer,
de feindre l'indifférence ou de se draper dans un mépris supérieur
et de regarder ailleurs.

Crier dans le désert ou dans une chambre capitonnée d'asile c'est
pire que tout.

On ne répond pas aux gens qu'on méprise.
On ne répond pas aux fous.


C'est responsabiliser quelqu'un que de lui répondre, c'est respecter
quelqu'un que de lui répondre y compris en le traitant d'idiot,
si lui même t'a traité d'imbécile auparavant.

y compris en répondant avec une certaine agressivité
si cette personne elle même a commence dans le registre agressif.

C'est lui dire tu est mon égale et je te parle.
Tu n'est pas un enfant qu'on laisse crier dans la cave sans l'écouter.


L'important c'est de savoir garder son calme au fond de soi,
de garder une certaine empathie avec cette personne
et de se dire que l'insulte et l'agressivité sont souvent
le vêtement de la déprime et du désespoir.

Souvent la personne qui a dérapé et que l'on sait recadrer
avec souplesse mais aussi et restant ferme et logique
deviendra quelque mois plus tard une amie.

SUITE
mercredi 24 oct.

"Des hommes qui ne comprennent rien à rien, il y en a beaucoup, tu sais, la preuves, c'est qu'ils pululent comme des rats, ça n'en fini jamais, à croire, qu'ils se reproduisent entre eux"

J'ai trouvé cette phrase sur le forum de Nad. Je la trouve inadmissible et indigne de rester sur un forum, même si on doit la prendre au second degré .
Si j'étais la modo, je supprimerai ce genre de phrase qui n'est pas la première dans ce style, écrite toujours pas la même personne...et je bannirais cette personne.
C'est mon point de vue.

samedi 20 octobre 2007

sorties associatives

Annie ma chère prof d'espagnol me pilote depuis quelque temps dans les associations lesb toulousaines.
(je n'apprends pas l'espagnol je suis trop fainéante pour cela mais je donnerais volontiers quelques cours d'utilisation de l'ordinateur à ma bienfaitrice)

Elle m'avait emmenée dimanche dernier dans la campagne lauragaise à une "garden party" d'une trentaine de personnes organisée parBagdam et sa responsable Jacqueline.
Il faisait beau, nous avons passé une excellente journée et admiré les œuvres de notre hôtesse. Voir le site de Bagdam
http://www.bagdam.org/

Et hier, agréable soirée avec l'association "Violette et Marguerite" de Toulouse qui organisait un diner-débat au restaurant vert caramel.
Nous étions en plus petit comité, 8 personnes.
Gabrielle que j'avais déjà rencontré à Bagdam était présente et j'ai fait la connaissance, entre autres, de l'animatrice de l'asso Laurence ainsi que de Sylvie nouvelle comme moi à Toulouse qui arrive d'Alsace.
Cette association organise en plus des réunions mensuelles (à ce que j'ai compris) des ballades et randonnées...les ballades, moins sportives, m'intéressent dans un premier temps. Pour les randonnées plus sportives il faut être entrainée.

jeudi 18 octobre 2007

humeur

Il y en a marre

1 - la rémunération des stages

c'est scandaleux ce qui se passe depuis trop longtemps, les stages gratuits des étudiants.
Souvent ils occupent un poste de responsabilité conforme à leur niveau d'études en remplacement d'un salarié en congé ou bien pour faire face ponctuellement à un surcroit de travail.
Ils devraient être rémunérés correctement, ils ont des frais de transport, il faut bien vivre et payer l'air qu'on respire !
Au début des années 60, j'ai été stagiaire rémunérée pendant une année universitaire au CEA au cours de ma dernière année d'étude d'ingénieure et fait des petis boulots aux NMPP et ailleurs pendant les vacances scolaires et j'ai toujours été payée correctement.
Ces stages étaient rémunérés, déclarés et ont compté pour la retraite (cotisations)
Ce qui se passe actuellement avec les jeunes est ni plus ni moins l'exploitation d'une catégorie de travailleurs par les entreprises (surtout les petites et moyennes à ce qu'il me semble).
Il faudrait que cela cesse et que la jeunesse soit accueillie et respectée.

2 - Le divorce Sarkozy

Laissons le tranquille.
Ce qui lui arrive est banal et je pense à lui.
Il semble, d'après le déroulement de son histoire, que c'est elle qui part. Il l'aime, elle ne l'aime plus.
Il doit être triste et se retrouver seul devant les problèmes, les réformes à faire passer, le poids des responsabilités sans le soutien d'une épouse amoureuse au sein d'un havre de paix familial doit être dur à supporter.
Politique fiction : Ségolène est libre, comme Sarko, alors.....
Laissons le tranquille dans sa tristesse.

3 - La caisse noire de l'IUMM

Cette histoire est à peine croyable.
Pourtant cette caisse noire de plusieurs centaines de millions d'€ existe ! Je ne croyais pas qu'il existait des associations déclarées (en dehors de l'OM) ayant pignon sur rue qui officient sans aucun contrôle, aucun bilan...un chef d'entreprise déclarait à la radio qu'il avait 3 bilans, un pour les services du fisc, un pour ???(je n'ai pas saisi) et un pour lui !
Mme Parizot patronne du MEDEF s'étonne de l'existence de caisse noire.
Yvon Gattaz longtemps patron des patrons dit que ces caisses noires servent à rémunérer les syndicats...
j'ai entendu dire que la caisse noire sert à soutenir les petites entreprises pour tenir en cas de grève.
Dans quelle état bananier vivons nous ?
La justice a du travail !...mais elle manque de moyens.

mercredi 17 octobre 2007

les blogueurs menacés

Un article de libé

Liberté de la presse dans le monde : les blogueurs menacés

par Astrid Girardeau

tags : liberté d’expression, censure

Les trous noirs du web, selon RSF - DR

L’association Reporters sans Frontières vient de rendre public son Classement mondial de la liberté de la presse 2007. Parmi les évolutions fortes, ils rapportent que la répression s’est élargie de façon significative à Internet. A côté des journalistes professionnels, les blogueurs sont désormais de plus en plus victimes des atteintes à la liberté d’expression et d’information.

A travers les coupures médiatisées de YouTube ou Google, c’est tout Internet qui devient un terrain de violations de ces libertés. Et surtout, selon le rapport : « les blogueurs n’échappent plus à la répression ». Ils indiquent ainsi qu’un certain nombre de pays (Malaisie, Thaïlande, Vietnam, Egypte, etc.) ont reculé dans leur classement en raison d’« actions graves et répétées » à l’encontre de la diffusion de l’information menées sur le web. Cela peut aller de la fermeture temporaire d’un site jusqu’à l’arrestation de son auteur.

Une multiplication des cas de censure qui inquiète RSF : « De plus en plus de gouvernements ont pris la réelle mesure du rôle essentiel que peut jouer Internet dans le combat pour la démocratie et mettent en place de nouveaux moyens de censurer le Réseau. Les autorités des pays répressifs s’en prennent désormais avec la même force aux blogueurs et aux journalistes en ligne qu’aux employés des médias traditionnels. »

Aujourd’hui, RSF comptabilise au moins soixante-quatre personnes emprisonnées pour s’être exprimées sur Internet. La Chine reste la championne de la catégorie avec cinquante cyber-dissidents détenus dans ses geôles, dont Shi Tao et Wang Xiaoning particulièrement médiatisés pour leur action en justice contre Yahoo. Derrière on trouve le Vietnam avec huit prisonniers, puis le Bélarus, la Syrie, l’Iran, la Jordanie, la Libye, la Syrie, et l’Egypte.

Le rapport confirme l’étude de l’OpenNet Iniative sur le filtrage sur Internet dans le monde, qui soulignait une augmentation et une sophistication du filtrage d’Internet. « En 5 ans, on est passé d’un filtrage d’état d’une poignée de pays à 25 », soulignait John Palfrey, directeur du Berkman Center d’Harvard, lors de sa présentation en mai dernier.

dimanche 14 octobre 2007

Les dirigeants voleurs

L'affaire EADS
On nous prend pour des imbéciles, qui peut croire qu'il n'y a pas eu délit d'initié.
Comme par hasard tous les dirigeants et cadres supérieurs possédant ces stock options ont vendu au même moment.
L'ouvrier d'EADS travaillant sur cette affaire savait à cette époque que le programme A380 aurait du retard et les dirigeants eux n'étaient pas au courant ?
(j'ai plus de 30 ans d'expérience industrielle et je sais comment ça se passe)
Ces gens là nous prennent vraiment pour des idiots!
Ils n'ont même pas le courage de dire la vérité. Pauvre monde !
et je rajoute qu'ils sortiront blanchis de cette affaire, parce que la justice est de classe.
Si ce n'est pas le cas, peines de prison ferme et remboursement intégral des plus-values frauduleuses, je réviserai ma position sur cette justice.



Arnaud Lagardère blanc comme neige



«Je n'ai été informé des nouveaux retards de livraison [de l’A380] que le 12 juin 2006», soit deux mois après avoir vendu sa participation dans l'avionneur. Il nie donc tout délit d'initié. Une interview accordée au JDD, journal dont il est le propriétaire.
Libération.fr (source Reuters)


LIBERATION.FR : samedi 13 octobre 2007
Arnaud Lagardère, président du groupe qui porte son nom, nie tout délit d'initié dans l'affaire EADS et affirme dans un entretien au Journal du dimanche qu'il n'a appris qu'en juin 2006 les retards de livraison de l'A380, deux mois après avoir vendu sa participation. «Je n'ai été informé des nouveaux retards de livraison que le 12 juin, à l'occasion du conseil d'administration», dit-il dans un entretien au journal dont il est le propriétaire. Il assure qu'il n'a donc commis aucun délit d'initié en vendant en avril 2006 à la Caisse des dépôts, une institution financière publique, sa participation.

Selon lui, cette décision de vendre sa participation a été dictée non pas par l'objectif de réaliser une forte plus-value avant que le titre EADS ne chute mais par une stratégie générale. «Depuis 1999, j'ai toujours dit, j'ai répété publiquement que mon groupe avait vocation à se recentrer sur les médias.»

Il estime par ailleurs que la publication dans le journal Le Figaro d'un rapport d'étape de l'Autorité des marchés financiers (AMF) signalant le caractère suspect des ventes de titres résulte de «fuites à l'évidence volontaires», destinées à lui nuire. Il ajoute que Dominique de Villepin, alors Premier ministre, a été informé de son intention de se désengager d'EADS dès janvier 2006. «Dès janvier 2006, mes collaborateurs ont eu des réunions répétées et à haut niveau concernant l'opération avec les services du Premier ministre. Elles portaient sur le schéma envisagé, le calendrier, etc. Matignon a suivi l'opération depuis le début», dit-il.



SUITE le 25 octobre







vendredi 12 octobre 2007

Une artiste toulousaine, Marie Pujo

Je t'ai trouvée sur le net Marie- ma prof de peinture -
voici un extrait de ses tableaux




http://lecapechalacote.free.fr/doc/2004/pujog.jpg

jeudi 11 octobre 2007

cannabis

En quelque sorte c'est comme pour les chiens !
La prohibition du cannabis va avoir pour effet le développement de la consommation surtout chez les jeunes, et l'enrichissement des trafiquants.
Ces mesures gouvernementales me semblent bien inutiles parce que au résultat incertain.
On ferait mieux de s'attaquer aux vrais problèmes : les déficits chroniques des finances de l'état et la restauration d'une éthique morale irréprochable chez les hommes de pouvoir (je pense en particulier aux stock options et au délit d'initié).


Gherasim Luca poète surréaliste roumain

J'ai découvert la poésie de Ghérasim Luca au café poésie de Carcassonne du début du mois. Son poème "passionnément" apparemment très connu a été dit de façon admirable, c'était un grand moment de poésie qui restera dans mes souvenirs.

Je vous recommande ce poète édité dans la collection poésie de Gallimard (ISBN 978-2-07-041069-9)

Ecoutez "Passionnément" dit par l'auteur.
ou en faisant un copier-coller dans votre navigateur

http://editions-hache.com/luca/luca1.html

Un grand moment ! vous ne trouvez pas, j'adore !

et quand il est bien dit c'est un régal dans un grand éclat de rire.


Voici sa biographie, trouvée sur wikipedia bien sûr !

Ghérasim Luca (ou Gherashim Luca) (23 juillet 1913 Bucarest - 9 février 1994, Paris) est un poète roumain et un théoricien du surréalisme.

Ghérasim Luca nait en Roumanie dans un milieu juif ashkénaze, comme son ami Paul Celan (il se suicidera comme lui).

Il prend part à la fondation puis à l’activité du groupe surréaliste roumain, mené par Tzara, Fondane, Brâncuşi, Brauner.

En Roumanie, avant la fin de la guerre, il publie son manifeste non-œdipien.

A partir de 1952, il s'installe définitivement à Paris où il vit pauvrement à Montmartre, rue Joseph de Maistre.

Il parle le yiddish, le roumain, le français et l'allemand et devient un poète francophone surréaliste reconnu.

Son ami et complice Jacques Hérold, peintre, placarde sur les murs de Paris, peu avant mai 1968, une liste de tableaux imaginée pour lui par André Breton et des poèmes de Luca.

A partir de 1973, les philosophes Gilles Deleuze et Félix Guattari lui rendent hommage. Deleuze le cite dans L'Abécédaire (Parnet).

Ghérasim Luca lit lui-même ses poèmes, joue avec les structures syntaxiques, fait bégayer la langue, basés essentiellement sur des jeux de mots et des balbutiements maîtrisés, par séquences et saccades. André Velter lui consacre, de son vivant, plusieurs articles du Monde des Livres et enregistre deux de ses récitals pour France Culture.

En 1994, il est expulsé de son appartement, officiellement pour des raisons d'hygiène. Il avait passé 40 ans en France sans papiers. Le 9 février, il se suicide en sautant dans la Seine.

Il vivait avec la peintre Micheline Catty.


mercredi 10 octobre 2007

Soutine


Je relaye ici l'info d'une amie sur un certain forum...

Y'a plus Krokodile...
mais pour ceux et celles qui ont la chance d'habiter à Paris

http://www.pinacotheque.com/expoAVP.fr.html

Les sans-papiers, article de LibeLyon

Lorsqu'une élue choisit de cacher des sans-papiers

Nathalie Perrin, maire du Ier arrondissement de Lyon, explique son choix

SOCIETE -Nathalie Perrin-Gilbert, maire du premier arrondissement de Lyon, a choisi de révéler publiquement qu'elle avait hébergé des personnes sans papiers. Chez elle, et dans sa mairie (papier).
Elle revient pour LibeLyon sur ce choix, et sur les conflits de loyauté qu'il pose à une élue.

Pourquoi avoir choisi d’héberger des personnes sans-papiers chez vous et dans votre mairie ?
Mes contacts avec des personnes dans cette situation remontent à 2005. La directrice d’une école maternelle m’avait alerté sur le cas d’une dame originaire de la République démocratique du Congo. Elle était présente depuis 2000 en France, avait une petite fille scolarisée depuis septembre et se retrouvait à la rue. Je l’ai rencontrée dans mon bureau, à la mairie. C’est une femme qui avait été emprisonnée et violée dans son pays, se trouvait dans une grande détresse, pas loin de mettre fin à ses jours. Je me souviens qu’elle se griffait les mains. Je suis d’abord allée faire des courses avec elle. J’étais au départ dans une démarche humanitaire. Une semaine plus tard elle a été prise en charge au Vinatier puis un légiste reconnu par la Ddass a confirmé les violences subies et les risques suicidaires. Elle a été hospitalisée dans une clinique post-traumatique et je me suis occupée de sa petite fille. La mère venait la voir régulièrement, pouvait dormir chez moi si elle le souhaitait. Qu’elle soit femme et qu’elle ait une enfant a sans doute constitué une porte d’entrée qui m’a touché. Puis une dimension plus politique s’est inscrite. Ce qui m’a posé question c’est qu’elles se soient sorties de cette situation grâce aux parents d’élèves, pas aux institutions. En tant que maire, j’aurais pu passer à côté.

Pourquoi dites-vous que vous êtes passée d’une démarche humanitaire à un engagement plus politique ?
A partir de cette rencontre, je me suis ouverte sur les questions d’immigration, d’asile, qui n’étaient pas au cœur de mes engagements. J’étais plus à l’écoute de ces situations, et des personnes qui soutiennent les sans-papiers. J’ai aussi pris conscience des injustices dans l’application de certaines lois. Il y a une part d’aléatoire, d’arbitraire, dans les décisions de l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides) et des circulaires de régularisation. Je me retrouve aujourd’hui dans les positions de certains élus comme la sénatrice Christiane Demontès. Il faut réclamer l’examen des situations au cas par cas, pas au compte-goutte. La dame que j’ai rencontré en 2005 était par exemple arrivée de RDC en même temps qu’une compatriote. Malgré ce qu’elle avait subi, l’autre a obtenu un statut en quelques mois, elle non. En l’accompagnant au service des étrangers de la préfecture, j’ai aussi parfois eu la nausée devant les arguments que j’ai entendus. J’ai réalisé qu’une administration peut à tout moment se mettre au service d’un projet politique. Sans comparer ce qui n’est pas comparable, je comprends mieux comment Vichy a pu se mettre en place, article de loi respecté après article de loi respecté. (souligné par Cami)

N’est-il pas gênant pour une élue de se mettre hors la loi ?
Je trouve important que les élus soient exemplaires. En tant qu’élue, je dois respecter la loi de mon pays. Je ne me sens pas du tout l’âme d’une révolutionnaire, je ne prône même pas la désobéissance civique et je préfèrerais répondre à ces situations d’urgence légalement, sans avoir choisir entre le respect de la loi et l’assistance à personnes en danger. Quand on peut faire avancer des situations de détresse avec les institutions, la préfecture, c’est mieux bien sûr. Je n’ai pas mis en danger la République et les institutions. Je n’ai nui à personne.

Pourquoi révéler tout cela aujourd’hui ?
C’est une façon d’être aux côtés de gens exemplaires. Un curé de mon quartier qui héberge des sans-papiers, des parents d’élèves, des enseignants. Il est important de montrer à ces gens qu’ils ne sont pas seuls. Je pense qu’il est fait le pari aujourd’hui d’un essoufflement des soutiens, des forces militantes. Il faut montrer que ce n’est pas le cas, que d’autres peuvent se lever, qu’on ne baisse pas la garde. Je pense important de montrer publiquement que nous ne sommes pas d’accord avec tout ce qui se passe en ce moment, et que nous n’accepterons pas toutes les intimidations.
OLIVIER BERTRAND

mardi 9 octobre 2007

Mauritius

Flic en Flac - Sur la côte ouest, au sud de Port Louis, la plage de Flic-en-Flac, est un village très touristique. Proche de tous les services en animations comme banques, restaurants, bars et night-clubs, c'est à moins d'1 km des casinos et des hôtels de plage. La plage de Flic en Flac fait plus d'un kilomètre et demi de long et on s'y baigne toute l'année. C'est aussi un paradis de la plongée avec ses nombreuses grottes et épaves.

Dépaysement garanti.
En septembre le défilé à Flic en Flac pour la fête de Ganesh chez les hindouistes






le cyber café "dodo surfeur" de Flic en Flac, la plage à la mode.


Le dodo (surfeur)



http://fr.wikipedia.org/wiki/Raphus_cucullatus

Image:ExtinctDodoBird.jpg


Le dodo de l'Ile Maurice, espèce animale aujourd'hui disparue

lundi 8 octobre 2007

Film caramel

Je suis allée voir un film franco-libanais "caramel", il passe dans les salles d'art et d'essai.
J'ai trouvé le film pas mal mais je suis difficile sur le cinéma, peu de films m'enthousiasment.
C'est quand même à voir...dans le genre vénus beauté.